Par Jean-Didier Gaïna
Nous vous
prierons de relire la première partie de notre projet intitulé “
Cette fois,
nous voudrions soliciter les contributions écrites des lecteurs et encourager
chacun, centrafricain ou étranger, salarié ou chômeur, entrepreneur ou employé,
militant ou membre de bureau exécutif de parti politique, médiateur politique ou
pas, responsable d’association ou d’organisation non gouvernmentale,
porte-parole de rébellion ou porte-parole du gouvernement, autorite religieuse
ou simplement laïque, tout le monde donc sans exception, à donner succintement
son point de vue sur la question que nous avons posée. Nous proposons à
chacun de jouer le rôle de journaliste, d’aller vers les autres et de recueillir
toutes les réponses possibles.
Chaque
réponse, de préférence dactylographiée et longue d’une demi-page ou d’une page
entière au maximum, pourrait être envoyée directement dans le corps d’un message
ou scannée par son auteur, puis envoyée par courier électronique à l’adresse
suivante: webmaster@sangonet.com. Chaque réponse devra comprendre le nom ou
les initiales de son auteur, puis le nom de la ville ou du pays de
résidence. Qu’importe les fautes de grammaire ou de style, dites le
simplement comme vous le pensez!
Les réponses
reçues pendant tout le mois de février en cours seront affichées au fur et à
mesure sur Sangonet.com sous le titre de notre projet avec l’intitulé
“troisième partie”. Enfin, notre point de vue sur cette même question
constituera la “quatrième partie” et concluera le projet; il sera affiché au
début de la deuxième quinzaine du mois de février.
Alors, à vos plumes comme on le disait jadis et
surtout n’oubliez pas que chaque centrafricain participant exercera alors son
droit à la liberté d’expression dans le pays. (à
suivre)