Centrafrique :
le chaos ou l’espoir mirobolant …Par Rodrigue Joseph Prudence
MAYTE
Depuis le début de la crise centrafricaine, il ne se passe pas un jour
sans que des voix s’élèvent pour décrier la méthode peu orthodoxe des
enturbannés. En réalité, il y’a des signes qui ne trompent jamais et il suffit
d’observer le vécu quotidien des centrafricains pour attester que les
enturbannés n’ont pas changé d’un iota leurs modes opératoires depuis
l’avènement de la crise jusqu’à nos jours. De plus en plus des Centrafricains
s’interrogent à haute et intelligible voix
sur le changement brutal du 24 Mars 2013. Certains veulent comprendre le but réel du coup de force si la
population doit subir par la suite les attrayantes atrocités de la vie.
D’autres se questionnent sur l’intention réelle des enturbannés et estiment que le pays est dans un
bourbier qui risquerait de
l’engloutir. En tout état de cause, la solution ne réside ni dans un perpétuel
recours en arrière ni un regard spontané dans le rétroviseur.
Certes, « Une vie sans recours sur soi-même ne vaut pas la peine
d’être vécue »dixit un penseur…
Néanmoins, la réalité quotidienne de
En revanche, les enturbannés
font des pillages leurs professions primordiales et ils utilisent les petits voleurs à
l’étalage comme un bouc émissaire pour
redorer leurs blasons. Alors que les enturbannés n’arrivent pas à
rétablir la sécurité sur toute l’étendue du territoire, les braquages refont
surface et la situation devient de plus en plus alarmante. On se demande si
réellement le Chef de
Nul n’est censé ignorer que les Centrafricains d’obédiences musulmanes
ont occupé des hautes fonctions de l’état sans une contestation quelconque de
Rodrigue Joseph Prudence MAYTE
(23 avril 2013)