CENTRAFRIQUE,
S’AGIRA-T-IL DE CONCERTATION, DE DIALOGUE INCLUSIFOU DE NÉGOCIER LA RÉDITION
D'UN CAMP ?
Par
: Léon Kidjimalé Grant
À
les entendre, via RFI et France 24 ou via les Nations Unies par la voix du
Secrétaire Général, une concertation serait en vue dans un proche avenir, entre
le pouvoir Centrafricain et la CPC…
QUE
PENSER D'UNE TELLE PERSPECTIVE ? UNE FOURBERIE A LA SCAPIN OU UNE COGITATION
DIGNE DU PENSEUR DE RODIN ?
Mon
opinion:
La
Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC) aurait-elle réussi à faire
relayer ses vues par ces organismes de presse ou ces monarques onusiens ?
Il
nous souvient, à chacun, que M. François Bozizé était revenu clandestinement
pour être dans le délai du calendrier électoral afin de se présenter aux
présidentielles de 2020.
Il
le sera.
Mais
sa candidature sera rejetée par l’Agence Nationale pour les Elections (A.N.E).
Ce rejet a d’ailleurs été confirmé par la Cour
Constitutionnelle.
Dès
lors, il a pris le large vers le Nord centrafricain, fief des rebelles et des
groupes armés, avec lesquels il va se mettre en intelligence contre le peuple
centrafricain et contre l’intérêt supérieur de la nation.
En
effet, suite à un Accord de fusion entre les ex- Séléka,les Antibalaka et ses
propres troupes, il deviendra le chef de la coalition
créée.
Dans
ce contexte, il n’échappe à personne que l’option choisie par M. Bozizé et ses
acolytes est incontestablement guerrière.
La
suite des événements le confirme.
Des
armes ont été choisies, achetées ou reçues, payées et stockées près à être
utiliser.
Des
combattants et mercenaires ont été recrutés et convoyés pour cela jusqu’à
l’intérieur du pays.
Pour
Mr. Bozizé et ses sbires, il ne s’agit pas de jouer comme dans un Jardin
d’enfants.
Des
cibles sont clairement désignées pour être éliminées. Notamment des êtres
humains et des biens matériels.
Mr.
Bozizé et sa clique semblent cependant oublier que les Centrafricains ( y
compris leurs dirigeants) ne sont plus ceux qu'ils étaient il y a dix ou vingt
ans.
Ils
ont mûri et se sont indéniablement transformés par la souffrance, la réflexion
et les communications via les réseaux sociaux. Compris surtout la géopolitique
mondiale et singulièrement Françafricaine qui le meût !
C'est
en tous cas ce que certains compatriotes avec lui, ignorent encore.
Mr.Bozizé,
a connu avec les siens, les manques matériels et l'accès à une bonne éducation
et une culture générale adéquate.
Malgré
cela, la gloire et le règne de l'argent facile, grâce à la rébellion armée et à
l'arrivisme au pouvoir suprême, leur ont souri. Lui, s'en est d'ailleurs
vanté...
Il
ne peut donc supporter de voir ses anciens dominés diriger le pays et jouir des
honneurs en " son" lieu et place.
Comme
les fauves, il croit au mâle dominant. Alors que les grands vols ont été commis
en son temps, il traite de voleurs ses successeurs pour ensuite les
diaboliser.
Par
des putschs armés ou autres actions militaires, il s'était distingué par le
passé.
Ceci
durant près de quarante ans.il avait conservé des attaches dandans l'armée. Ce
sont pour la plupart des hommes de son clan ( de la tribu des Gbaya, seconde
tribu en nombre après les Banda, majoritaire).
Ces
soldats proches de lui, de l’armée nationale centrafricaine, faisant défection
car alléchés par le gain facile,viendront le rejoindre dans cette coalition
nouvelle.
Fort
de ses soutiens sur le territoire national, et aussi à l’étranger Mr.. Bozizé
lancera un appel aux populations pour un boycott des élections qui allaient
avoir lieu sans lui.
Le
bras de fer avec les Institutions de la République est entamé, pour tenter de
reporter ou annuler purement et simplement les élections…
Malgré
cela, les élections groupées (présidentielles et législatives) auront
finalement, bel et bien lieu à la date convenue du 27 décembre
2020.
Avec
en liste tous les candidats retenus par la Cour Constitutionnelle. Des candidats
qui avaient d’ailleurs battu campagne là où la sécurité le
permettait.
A
l’issue de ces élections le candidat Touadéra sera déclaré vainqueur par
l’A.N.E. et confirmé plutard par le Cour Constitutionnellelaquelle rejettera,
avec arguments à l’appui, tous les recours des autres candidats
malheureux.
Le
13 janvier 2021 la coalition dirigée par M. Bozizé fera une descente vers les
faubourgs de la ville de Bangui, capitale de laCENTRAFRIQUE.La menace d’un
renversement du pouvoir de Bangui fût réelle.
Le
but étant de renverser TOUADERA avant la proclamation des résultats définitifs
des élections avec l’objectif de dissoudre ces élections et d’imposer au peuple
centrafricain une énième période de transition.
Le
pouvoir n'a dû son salut qu’à ses alliés composés de soldats Rwandais, Russes,
Congolais-RDC, les soldats des Forces Armées Centrafricaines demeurés fidèles et
les hommes de la Mission des Nations Unies en Centrafrique (MINUSCA).
Les
assaillants-CPC seront ainsi repoussés. Ils subiront de lourdes pertes en vies
humaines. Cependant cette guerre est- elle par eux, totalement perdue ?Loin s'en
faut !
C'est,
du reste, le dessein de toutes les guerres lesquelles sont faites de plusieurs
batailles qui peuvent voir un camp gagner par-ci, et perdre
par-là.
Donc
si l’on observe la chronologie des événements, le 13 janvier, n’a été qu’une
bataille, par la CPC, perdue.L’essentiel, c’est assurément de gagner la
guerre.
Une
guerre que le Président TOUADERA a très précisément reconnue lors de ses vœux de
la fin de l'année 2020 à la Nation. Il a déclaré: " NOUS SOMMES EN GUERRE. ET
NOUS DEVONS GAGNER"
.Des
guerres
Lorsque
l'on croise le fer avec l'ennemi, et-que le fer aiguise le fer,- que les canons
des fusils crachent du feu,-que les balles sifflent dans l'air pour aller dans
un camp, pour tuer, alors, l'on ne dialogue pas, Mais l'on se
bat.
Pour
aboutir à une victoire FINALE. VOILÀ L’ENJEU pour chaque camp. Nous savons qu’en
la matière, l'échec n'est pas une option de guerre.
Mais
perdre la guerre est un fait. C'est lorsque un camp a gagné, que l’autre camp a
donc perdu. Avant la fin, tout reste donc possible. C’est ainsi.Dans le cas
présent, la géopolitique régionale et mondiale y font leur
entrée.....
.…….LA
STABILITÉ DES INSTITUTIONS AVEC TOUADERA ET SES ALLIES.
La
Fédération de RUSSIE à travers son Ministre des Affaires étrangères Mr Lavrov,
dans l’interview accordée à l’agence russe Spoutnik, a analysé la situation
centrafricaine. Il a solennellement demandé que la France n’impose plus de véto
sur les armes pour que les FACA aient les moyens de faire face aux CPC mieux
équipées.
.Les
Chefs d’état des Régions du Grands-Lacs lors d’une réunion à Luanda (Angola),
adopteront une Résolution très favorable au Président Touadéra dont les
élections furent reconnues et encensées…
La
CPC, elle, sera invitée à se replier dans la zone. Et les Présidents Sassou-
Nguesso et Déby, le Maréchal-Président du Tchad chargés l’un, de demander à la
France de ne plus s’opposer par véto, à la levée de l’embargo sur les armes en
faveur des Forces ArméeCentrafricaines, sous équipées par rapport à la CPC et
l’autre de ne plus soutenir la CPC
…....OU
LA TRANSITION AVEC LA CPC ET SES ALLIES
France
24, RFI et maintenant les Nations-Unies (où les Pays francophones sont sous le
leadership de la France), semblent choisir de soutenir la CPC au mépris du bon
sens.R FI et France 24 ont une communication très partiale et asymétrique quant
au rendu des événements sur les théâtres des opérations en CENTRAFRIQUE.
Elles
apparaissent comme favorables à la CPC oubliant, comme par enchantent, de se
soumettre à la déontologie de leur art. Il suffit de les écouter pour s'en
convaincre.Est- ce délibéré en raison de leur perte d'influence croissante en
Afrique ?
Tout
laisse penser que ces médias (Radio France Internationale, France 24 et certains
journaux d'opinions) avaient reçu une mission : celle de menercampagne pour
occulter des réalités, influencer leurs auditeurs à travers une désinformation
assortie de manipulations insoutenables pour des esprits éclairés.
Mais,
convient-il de rappeler, et ceci est un secret de polichinelle, que la France
voit d’un très mauvais œil la présence russe en Centrafrique. Il y a donc fort à
parier qu’elle soit le maitre-d’ œuvre de ce Changement subitement affiché par
la CPC ! C’est en réalité, la demande d’un changement de changement, ou un «
Re-changement » visant à faire partir les Russes (et revenir au statuquo d'une
FrançAfrique avilissante dont l’unique finalité est d’appauvrir systématiquement
et sans scrupule le Pays et sa population.
Revoir
Bozizé, redevenir président tout en étant plus sage, cette fois-ci, dans le
pré-carré néocolonial des Accords de 1960, est facilement subodorable par
chacun...
Or
aucune transition politique n'est porteuse d'un projet de société ou d'une
vision globale de développement de ladite sociétéIci, elle veut ramener sous les
projecteurs, des " has been " aigris et " amertureux «, désireux surtout de
reprendre du "service " pour eux entre autres engagements
inavoués.
La
transition, de par sa définition, est un organe intermédiaire de réglage ou de
déréglage, voire de règlement de compte ! Elle a pour objet final de donner
naissance à une nouvelle République, donc une autre Constitution.
Mais
jusqu'à quand ce Pays va-t-il prendre son envol vers le progrès, vers la
stabilité et vers le développement ?
A
qui profite la déstabilisation chroniquement organisée de ce Pays
?
En
tout cas, pas à l'immense majorité des Centrafricains locaux, qui croupissent
dans la misère et l'insécurité.Nous savons que les groupes armés pratiquent des
prédations sur les ressources minières et aurifères du Pays. Qu'ils vendent pour
s'enrichir et se procurer des armes de grande qualité..
Quels
Pays européens leur fournissent ces armes ultramodernes alors que la
Centrafrique est sous embargo onusien ?
Dans
quels buts le font-ils (commerciaux et/ou politiques) ?
Cette
nouvelle donne devrait profiter à TOUADERA, vainqueur au 1er tour des élections
présidentielles du 27 décembre. DONT ACTE !
De
mon point de vue, si le "dialogue" (ou la Concertation) peut s'envisager, il
faut savoir avec qui !
Puis
et surtout, en définir les contours, et le contenu, et les finalités. Le but ne
peut être une énième transition par conséquent, il s'avère vain de
l'entreprendre pour cet effet.
Or
donc, si dialogue il y a, ce serait comme si le pouvoir acceptait de se saborder
!Il est clair qu'il s'agirait d'une négociation entre deux camps
ennemis.
Deux
camps qui ont laisséentre eux, des morts (civils comme combattants), sur le
champ des batailles. Des morts mais aussi des veuves éplorées, des orphelins
sans aucun avenir. Que deviendront ces malheureux ?
Des
laissés-pour-compte, une fois de plus. Deux camps ennemis, (encore une fois,)
car l'objectif de l'un est d'éliminer l'autre sur le champ de la guerre tout
comme sur l'échiquier de la politique nationale. Dialoguer c’est ce que font des
partis adverses politiquement constituées dans le cadre d’un Parlement issu
d'une Constitution par eux tous, acceptée.
Si
l'on creusait un peu plus, la question à se poser est de savoir pourquoi chez
Bozizé, il y a cette fixation sur l’idée d’unDialogue inclusif
?
La
réponse se trouve dans son passé en 2003.Après avoir évincé Patassé du pouvoir,
il s'en était suivi un véritable carnage : des milliers de crimes, d'exécutions
sommaires et autres commis par ses troupes. Tout le monde se souvient du fameux
boucher de Paoua, le capitaine Ngaîkossé, qui tuait à tour de
bras..
.Eh
bien ! En 2005, fut organisé un Dialogue national inclusif à Bangui. Il a permis
aux victimes, leurs proches et aux bourreaux de
s'exprimer.
Et
à la fin, de partager un pot, des perdiums, et d'essayer de tout évacuer. Naïf
furent ceux qui ont cru à cette fourberie qui consiste à commettre des crimes
puis chercher à se faire oublier à travers un simulacre de dialogue pompeusement
qualifié d’inclusif.
Mr.
Bozizé en a retenu une leçon.Il se dit qu’ : " il peut tuer, voler et brimer.
Puis organiser cette grand’messe païenne qui est le Dialogue inclusif et tout
sera évacué en quelques jours.
En
reproduisant le même scénario qu’en 2003, il croit ainsiéchapper à la justice.
Lui, Mr. Bozizé et ses bandits continueront à narguer les proches des victimes
impunément. Il faut que cela cesse ! Entre deux parties adverses, quand l'une
veut détruire le cadre des institutions, ce n'est plus un adversaire. C'est un
ennemi !
En
tant que tel, cet ennemi doit être traduit devant les tribunaux à défaut de
l’éliminer physiquement comme ce qui se fait dans un pays
totalitaire.
La
négociation est une question de rapport de force.
C'est
ce que la CPC tente d'obtenir sur le plan militaire, sur le terrain, et imposer
ses vues, pour fairecapituler le pouvoir. Peut-on cautionner cela
?
Non.
Il faut rappeler que la main a été plusieurs fois tendue à ces traitres de la
nation. Plusieurs fois ils l’ont rejetée. Obéissant au doigt et à l’œil à leur
Mentor, ils réclament aujourd’hui un dialogue dit
inclusif.
Un
dialogue qui permettra à eux et leur Mentor de passer au plan B de leur
intention machiavélique : celle de reproduire en Centrafrique, ce qui a été fait
au Président GBABO en Côte d’Ivoire.
Il
convient de rappeler que cette guerre en Centrafrique est une guerre de
libération. C’est une guerre qui oppose d'une part, le camp de la démocratie
naissante, pour bâtir une société juste, développée et sécurisée, à un camp où
la pratique du pouvoir personnel et familialest exhibée aux yeux de tous. Un
camp avec ses hideuses manières : arrestations arbitraires, crimes multiples et
viols, prisons privées et tortures, éliminations physiques d'opposants,
disparitions inexpliquées, confiscations des biens
d'autrui...
La
liste est longue !
De
quoi peut-on s’entretenir avec un ramassis de criminels.
Quel
crédit accorder à ce groupe qui a moult fois renier ses propos et ses propres
engagements ?
Le
bon sens voudrait que l’on jette aux orties leur demande de dialogue inclusif.
En effet, ce sont desgens qui relèvent de la justice où ils devraient rendre des
comptes pour leurs multiples forfaits qu’ils ont commis.
Mr.
Bozizé en fait partie et l’on peut se demander si c’est un tel individu que ces
gens et les traitres veulent voir présider aux destinées du Pays de BOGANDA ?
Vraiment,
quelle méprise ! Bref, le règne par la terreur durant dix années de 2003 à
2013.Il s'agit donc d'une guerre de libération contre le Changement affiché par
la CPC qui n'est au fait qu'un Retour dans la dictature habillée par un faux
parlement de députés postiches ou de proches parents.
Nous
avons bel et bien connu çaavec Bozizé lequel ne changera pas car, comme dit
l’apophtegme « On a beau chassé le naturel, il revient au galop ». Cela peut
paraitre triste pour lui. Mais quel cœur pourra-t-il s’épancher sur cette
tristesse au regard de tous les crimes qu’il a commis ?
Avant
les nouvelles technologies, les crimes d'état étaient mis sous le boisseau pour
« raison d’état ».Les nouvelles générations peuvent les ignorer. Les dossiers
demeurent stockés dans les Palais de justice ou chez les
Avocats.
Depuis
l'avènement des réseaux socio-démocrates, une grande révolution s'est produite.
Elle est comparable à l'invention de l'imprimerie par Gutenberg.
L'on
retrouve tout sur Google. Les écrits et les vidéos resteront pour la mémoire et
pour longtemps encore.
Les
mensonges comme les vérités seront vues ou lues.Pauvres hommes, ceux qui les
ignoreront !
Tout
dépend de quand ? Où ? Et comment ?.
Quand
?
Après
l'investiture du Président TOUADERA et après les législatives suivies de la
désignation du Premier Ministre et la formation du nouveau
gouvernement.
Un
ministère (plein) chargé des Dialogues (et non du Dialogue) et des Concertations
régulières avec les forces vives de la nation, devrait être créé. C'est ce
Ministre et son département qui piloteront tous les Dialogues futurs ou les
anticiperont. Jamais au grand jamais, le Président de la République ne devrait
se trouver ou s'assoir avec des gens qui, un jour devrait rendre des comptes à
la Justice.
Car
le but, non avoué de Bozizé, est d'échapper à la justice, en négociant une
amnistie générale pour ses crimes. Se faisant, une fois absout, le pouvoir et
les Institutions sont décrédibilisés à jamais devant l'opinion nationale et
internationale.
C'est
d'ailleurs aussi l'une des motivations des chefs rebelles qui l'ont
rejoint.
Comment
?
Parallèlement,
le gouvernement devait veiller à faire en sorte que les FACA montent en
puissance pour s’imposer sur tout le territoire national.
Exiger
:
1)
Que les hommes armés de la CPC soient regroupés en un seul endroit avant de
débuter un tel dialogue
2)
Que les étrangers tchadiens, soudanais et autres, qui y sont rentrent dans leur
pays. Ceux qui sont ou seront arrêtés, seront jugés.
3)
Que les déploiements de l’administration et de l'armée s'effectuent sans entrave
sur tout le territoire national.
4)
Qu'une transition ou un gouvernement d'union nationale n'est pas une option du
dit " faux dialogue - Vraie Négociation "Seule la stabilité, le déploiement de
l'armée dans les garnisons et le développement du Pays doivent demeurer son
objectif.
5)
Que les Accords de défense avec la Fédération de Russie et le Rwanda doivent
demeurer et être renforcés
6)
Enfin où ?
Sans
équivoque, à Bangui. /
Reste
la morale de cette affaire.
En
effet, il y en a une.
Elle
interroge les hommes politiques centrafricains (ils se
reconnaitront).
Ceux
qui clamaient haut et fort sur les antennes de radio, à la télévision et sur les
réseaux sociaux, que Bozizé devrait pouvoir rentrer chez lui. Allusion au mandat
d'arrêt qui plane sur lui, depuis la transition de Madame Catherine
Samba-Panzaen 2013.
Ils
s'étaient même affichés avec lui. Eh bien !
Force
est de constater, vu la guerre, que mal leur ait pris !
Que
leur reste-t-il à faire devant ces morts ?
Vouloir
mettre fin au régime de TOUADERA, doit-il justifier tous les moyens y compris
celle auquel nous sommes confrontés à nouveau ?
Non
! Mais encore faut- il être un Patriote, avant d'être l'opposant
politique...
Telles
sont les humbles vues qui sont les miennes.Affaires à suivre...Restons tout
ouï.Patriotiquement
LKG
(14 février 2021)