La Législature et la Présidentielle 2020-2021 et ces perspectives…

 

« Une dangereuse équation à plusieurs inconnues » Les scrutins qui s'annonce ne soit encore une nouvelle occasion manquée.

Enigmatique situation politique, potentiellement explosive et inquiétante qui devrait nous interroger tous et toutes sur les stratégies politiques hasardeuses.

Les tergivations politiques confondues, défiances des factions armées non-conventionnelles incessantes, les intimidations des uns et des autres, via les positionnements des différents acteurs antagonistes et politiques d’hier, se prévalent-ils ? pour un seul intérêt général du peuple Centrafrique à l’unissant de fait (la Paix, Justice et Réparation, la Bonne Gouvernance) !    

Aucune perspective politique déterminante à l’horizon, et qui se matérialise, en une absence totale des projets politiques proposés aux Centrafricains(es) pour une nouvelle alternance politique, reste aussi très inquiétante.

Les acteurs politiques, les Citoyens Centrafricains(es), doivent bien se poser des questions sur les enjeux cité ci-dessus, et l’avenir du Pays sur les bases démocratiques d’une nouvelle société. En lieu de s’installer plus concrètement dans une responsabilité Citoyen et Républicaine dans les respects des institutions. Que de s’étaler dans des considérations conflictuelles indéfinies, à l’encontre d’indexations des uns et des autres sur des bases diffamatoires, des délations et d’insultantes manipulations Tout-Azimut. Ils ou elles (les Hommes politiques, les Citoyens, mettent des rancœurs, émotions, frustrations à la place des analyses objectives) ne relèveront pas la République Centrafricaine dans ces travers. Presque tout le monde à pécher par faiblesse, cupidité en occasionnant les déclins : Politiques, économiques, et des tragédies humaines pour les hommes politiques directement et indirectement…Pour les Citoyens(es), aveugle par ignorance intellectuelle, complicités politiques et de ces fossoyeurs alliés contre la République malgré les brouillis des bots des toutes ces mercenaires étrangers sur notre territoire.

Les contres offensifs par les forces de mal son présentes, au crédit de toutes ces factions armées non-conventionnelles, à qui on a amplifié les pouvoirs existentiels dans des institutions Républicaines en les promouvant a des postes de responsabilités sans les qualifications, ni compétences.

Ouvre un statu quo quant à la bonne volonté et une bonne marche d’une sortie de crise dans le respect des institutions Républicaines, de la Justice tant décrier par le peuple Centrafricain, encore moins de la mise en place de la démocratie en République Centrafricaine, sans que ces préalables soient requis.

Abraham Lincoln, sur la démocratie dixit : « Il ne voudrait pas être un maître, aussi par ailleurs qu’il voudrait pas être aussi un esclave d’un système ». Ps) Telle est la conception de la démocratie.

Indira Gandhi, dixit sur le démocratie « la Démocratie devrait assurer au plus faible les mêmes opportunités qu’au plus fort ». 

Faut-il la rappeler ?  Les tractations tout azimut pour les antirépublicain, en connivence avec les factions armées non-conventionnelles, qui sont contre notre République ou certaines valeurs fondatrices de cette République sont complètements foulés aux pieds, et aux rythmes des bots des maquisards, mercenaires complices sanguinaires. Complicités par les mutismes des hommes politiques avare du pouvoir prétendu, aux détriments du peuple Centrafricain, que malgré les souffrances qu’endurent les Centrafricains(es). Entrainant les descentes des institutions qui se traduisent par le manque d’autorité de l’Etat sur la plupart de l’étendue du territoire sur toute sa dimension qu’il est impossible de les énumérés tous ici… (l’Insécurité, les Corruptions généralisées à tous les niveaux, l’Anarchie administrative dans les traitements de dossiers, les Infrastructures physiques que logiques quasiment inefficientes) ne sont plus à démontrer depuis plusieurs années.

Bien que tout le monde veut, par omission mettre seulement sont accents que sur l’insécurité, une situation que nous savons tous, malgré des efforts de parts et d’autres des partenaires. Le pays accuse toujours une inefficacité quant à la matière et résolution de cette crise. Situation relevant de la désintégration de l’armée, une armée avide des disciplines dû à leurs missions, de fait manifestement, un manquement des moyens, de la formation et reconstruction de notre armée Centrafricaine Républicaine et des services de sécurité d’intégrité territoriale.

À cela met en évidence une exaspération et une incompréhension, qu’en se reposant essentiellement sur les institutions internationales, plusieurs projets financés par accords bilatéraux.

Malheureusement, cette approche relève d’un modèle voué à l’échec et nous et tout le monde insistent, la communauté internationale, les partenaires bilatéraux, les dirigeants de l’heure, opposant hommes politiques qui se qualifient à juste titre ! se contentent des passibilités des situations.

Ps) Il faut changer le fusil d’épaule, la nécessité d’une compréhension partagée entre citoyens et les militaires des risques et des menaces sur la paix en Centrafrique, afin de rétablir l’unité nation et patriotique, engager le progrès social global, et l’intégrité territorial, l’unité nationale.

Que faire ? si et seulement si, seule volonté politique, les compréhensions des enjeux partagées peuvent, nous permettrons une prise de conscience du caractère indispensable des militaires dans la société et d’octroyer par là-même, les moyens financiers multiformes, et nécessaires à leurs actions, et moins théoriser les politiques à tous les égards à ce niveau.

Jusqu’aujourd’hui, les programmes de la reconstruction de l’armée nationale sont définis loin du terrain par des étrangers intervenant sur des périodes trop brèves pour comprendre les besoins et les capacités de l’intégrité territoriale.

Ils ne peuvent aborder les aspects politiques Centrafricaines plus concrètement, par ailleurs qui exigent d’en finir avec les promotions clientélismes politiques, y compris régler les problèmes des factions armées non-conventionnelles, a qui puisent leurs forces dans les introduction en leur sein des mercenaires ignorantes des stratégies politiques Centrafricaines, seulement animer que par les pillages, et enrichissement illicites dont la plupart ont une lecture partielle de leur présence dans ladite mouvement qu’à cet effet.  Le pouvoir en place, a péché par manque d’une stratégie politique avant-gardiste, aussi par manque de courage politique, de mettre en place une gestion des ressources humaines fondée sur le mérite, la rigueur. On est loin du compte.

L’opposition politique Centrafricaine, la plupart ont manqués de réalisme politique, animé aussi par la soif de pouvoir, rien que le pouvoir.  Egoïstement laisser l’espace politique a tous les dérapages, polluant complétement la scène politique Centrafricaine, des boules puantes, et une stratégie de disqualification, au lieu d’une meilleure approche de solutionnement optimale. « Ces potentiels candidats, le peuple est en attente des propositions politiques le mieux approprier pour un avenir paisible ».

Notre pays n’est pas exsangue des hommes compétents, expérimentés et ayant un savoir-faire. Il faudrait pour cela une forte volonté politique, à la reconnaissance dans ces fils et filles pour une reconstruction notable dans nos institutions.

Le modèle et la réussite d’un pays comme Rwanda : La clairvoyance du chef d’Etat et Chef suprême des Armées, Monsieur le président Paul KANGAME montre plus nettement la volonté politique à la sortie de crise, une place nettement aux fils et filles Rwandais(es) « la Diaspora de tout bord » selon les profils, les compétences et expériences, l’intégrités, rigueurs…aux services de leur nation pour la reconstruction.

Une volonté politique fait défaut pour la République Centrafrique, Pays de tous les paradoxes ou les recyclages de la médiocrité prime. La politique se résume en Centrafrique qu’à une question de bouffonnerie, de l’appétence égocentrique, des promotions d’alcôve malheureusement.

Il faut que le Pays renaît de ces cendres, au lieu d’installer dans les médiocrités, les calomnies, les diffamations politiques, en terme qui « sème récolte », la vigilance politique, les exigences sont ailleurs sur les enjeux de notre Pays. J’ai l’espoir en empruntant le terme de l’ancien Président Français sur la médiocrité, les calomnies et les jeux de diffamations sur la scène politique Centrafricaine, des politiques, adaptes et les partisans de l’ambiance pour l’heure.

Dixit VGE (Valéry Giscard d’Estaing) : « Il faut laisser les choses basses mourir de leur propre poison ».

NB) Les enjeux et projets politiques sont ailleurs (Intégrité territorial, Paix, unité national, Bonne Gouvernance…Vouloir dire des meilleures stratégies dans les représentations pour la reconstruction de notre Pays). : Compétences, intégrité, Rigueur, Responsabilités.

Donc les avatars politiques, partenaires et autres groupilles doivent se calmer et se concentrer sur les vrais enjeux de notre Pays.

Que Dieu bénisse la Centrafrique et son peuple.

Diaspora, Fait à Lyon 09-09-2020

Mr. Aubin-Roger KOMOTO

 

La Législature et la Présidentielle 2020-2021 et ces perspectives… Par Mr. Aubin-Roger KOMOTO