La neutralité
politique aux paroxysmes exacerbés, aux patriotiques
désolidarisés.
Quelle
proposition politique qu’il faut donner à la nation qui se trouve
dévastée et les peuples qui la composent ?! Afin d’éviter toute déviance des
acteurs du moment des institutions, afin de respecter les règles, les lois qui
régisses, de fait au regard des principes démocratiques, au passage des systèmes
politiques. Une réflexion sur le passé et l’avenir de la nation et des
peuples Centrafricains.
La
vigilance politique devrait être permanente sans complaisance pour la sécurité
de la nation Centrafricaine, l’exigence et la neutralité du pouvoir en
République Centrafricaine qui doit se traduire par des actes concrets afin de
ramener la Paix tant attendus en RCA.
Les
dernières événements dramatiques dans la ville d’Alindao…de Batangafo que
sais-je encore !? Mériteraient
une grande solidarité, non
seulement, un devoir de mémoire, mais aussi, un travail de mémoire des
responsabilités, de toutes ces multitudes événements dramatiques, qui ne doivent
pas continuer, encore et encore aujourd’hui, qui ne cesse pas de nous marquer
les esprits si profondément et si durablement, la souffrance de peuple
Centrafricain, les fractures territoriales de notre pays.
Ce n’est pas maintenant que l’heure est grave ! La responsabilité est
collective, à la première loge les hommes politiques Centrafricains dites de
l’opposition, non seulement brillent dans leurs mutismes durant tout ce
temps…que pour sortir avec les rhétoriques habituelles revendicatifs, si ce
n’est que en arrière-pensée, un potentiel retour aux affaires ou aux mangeoires
péjorativement dixit par la plupart des Centrafricains sans préparation, ni
programme politique. Nous savons les difficultés du pouvoir en place, que
lui-même le premier des gouvernants s’automutiler et qualifie l’ensemble de
l’exécutifs et législateurs des bras cassés. Cette petite phrase avec tant des vérités
et d’aveux de l’incapacité de gouverner.
Si
ces événements dramatiques, en ce moment est comme ils se doivent, solennels, si
graves, ils ne doivent pas occulter cette vérité essentielle, en particulier
l’absence quasi-totale des enjeux et de l’intérêt pour le peuple, que peut être
signifié que par l’incompétence notoire des uns et des autres, sans aucune
vision politique pour l’avenir.
Quant
aussi, aujourd’hui, dans cette cour des partis politiques, le nouveau-né, le
mouvement des cœurs unis ou pour ne pas mieux dire des cœurs brisés, qui ne
tarderont pas d’arriver ! Si toutes ces situations dramatiques…! L’exécutif
et les législateurs ne se reprends pas à bras-le-corps avec clairvoyance, et
plus de réalisme de la mémoire, les souffrances du peuple Centrafricain, la
mémoire de… nos morts, avec une détermination accrue dans l’instauration de
l’intégrité territorial , afin d’installer l’autorité de l’État, le peuple
Centrafricain, nous, devrons tous puiser dans toutes ces drames des forces
renouvelées pour agir autrement, chacun à notre échelle, chacun dans notre
domaine afin de nous reconstruires, reconstruire notre Pays, et non, se
contenter des balles des plateformes des bras-cassés tout confondu, ainsi
l’éternel communiqué de presse, de nos illustres supposes hommes politiques
Centrafricains, représentant de partis politique, que j’arrête pas de dénoncer
l’inefficience des actions politique, l’in maturité, des grands enfants affamés,
en voyant que leurs intérêts !
Je ne cesse pas de leurs réclamer
« une responsabilité politique et
citoyenne, de l’éthique Républicaine » ! Par
ailleurs pour
« un
dialogue préambulaire inclusif et des défis pour la sauvegarde des institutions
de la République, ainsi que de la nation ». Ps)
Publié dans une tribune sur le site de « sangonet » mes
contributions à la réflexion politique sur mon Pays.
Je
suis à la fois frustrés comme beaucoup de mes compatriotes qu’on tu un peuple si
paisible, nos enfants, nos frères et sœurs, nos parents…, pour constater, ces
réveils tardifs des partis politiques toujours dans leurs rhétoriques éhontées
comme d’habitude.
L’exigence
et la neutralité du pouvoir et la politique en République Centrafricaine doit
s’exprimer, se traduit par des
actes concrets afin de ramener cette « Paix » Tant attendue pour le
peuple Centrafricain, ne pas seulement se vouer aux seules institutions
internationales, et les organisations inefficientes.
Tout ne doit pas se limiter dans la main des institutions
internationales présentes sur le territoire Centrafricain (MINUSCA, &
l’UA…etc.)… Autres barbouzes présents sur le territoire on connait leur intérêt,
si nous les donnant pas notre vision et une feuille de route. Parce que nous
avons tous, les paramètres politiques, sociologiques,
territoriales.
Par ailleurs sur les fameux dispositifs de DDR, en l’absence d’un
plan clair établit par les autorités Centrafricains, les institutions
internationales (MINUSCA, &
l’UA)…Autres barbouzes, ne feront pas grand-chose, il ne faut pas faire un
dessin, elles n’ont aucunement la maitrise de la situation…Sans une clairvoyance
stratégique des autorités et une stratégie politique propre Centrafricaine.
Pour ça ! Il faut une vision politique de la responsabilité,
une stratégie politique plus pragmatique. Il ne suffit pas que des prises des
positions, des communiqués de presses, et d’interpellation à chaque évènement
tragique.
«Toute
œuvre d’art est une possibilité permanente de métamorphose, offerte à tous les
hommes».
Octavio Paz
Nb) La politique est un « art » et une
« œuvre » permanente, de vigilance, de contradiction, de controverse,
des combinaisons des pensées stratégiques.
De
ce fait, à savoir, au moment voulu changer le « fusil d’épaule ». Le
tout pour couronnés par des actions pour une mission noble que la politique pour
l’intérêt générale.
Fait à Lyon le 28/11/2018
Diaspora,
Mr. Aubin-Roger
KOMOTO