Une
élection de tous les dangers, qui n’augure une paix incertaine.
Une
situation potentiellement explosive inquiétante. Le scrutin qui s'annonce ne
soit une nouvelle occasion manquée !
Tous
les ingrédients sont en marche. Les tâtonnements organisationnels, les
tergiversations politiques confondues, défiances des factions armées
non-conventionnelles incessantes, les intimidations des uns et des autres.
Aucune perspective politique, absences total des projets politiques proposés au
peuple Centrafricain pour un relèvement pacifié.
Faut-il
être aveugle pour connaitre les complices politiques de ces fossoyeurs alliés
contre la République et, sourd pour ne pas entendre les brouillis des bots des
toutes ces mercenaires étrangers sur notre territoire. Les reprises par les
forces de mal son présentes, au crédit de toutes ces factions armées
non-conventionnelles, à qui on a amplifié les pouvoirs existentiels dans des
institutions Républicaines en les promouvant a des postes de responsabilités
sans les qualifications, ni compétences.
Ouvre
un statu quo quant à la bonne volonté et une bonne marche d’une sortie de crise
dans le respect des institutions Républicaines, de la Justice tant décrier par
le peuple Centrafricain, encore moins de la mise en place de la démocratie en
République Centrafricaine, sans que ces préalables soient requis.
« Abraham
Lincoln » sur la démocratie, dixit : qu’il ne voudrait pas être un maître, aussi
par ailleurs qu’il voudrait pas être aussi un esclave d’un système. Telle
est la conception de la démocratie.
« Indira
Gandhi » : La démocratie devrait assurer
au plus faible les mêmes opportunités qu’au plus
fort.
Les
tractations tout azimut pour les antirépublicain, en connivence avec les factions armées
non-conventionnelles, qui
sont contre notre République ou certaines valeurs fondatrices de cette
République sont complètements foulés aux pieds des bots des maquisards, et
complices sanguinaires. Complices, par les mutismes des hommes politiques avare
du pouvoir prétendu, aux détriments du peuple Centrafricain, que malgré les
souffrances qu’endurent les Centrafricains(es), les descentes des institutions
qui se traduisent par le manque d’autorité de l’Etat sur la plupart de l’étendue
du territoire sur toute sa dimension qu’il est impossible de les énumérés tous
ici…(l’Insécurité, les Corruptions généralisées à tous les niveaux, l’Anarchie
administrative dans les traitements de dossiers, les infrastructures physiques
que logiques quasiment inefficientes ) ne sont plus à démontrer depuis plusieurs
années.
Bien
que tout le monde veut mettre seulement sont accents que sur l’insécurité, une
situation que nous savons tous, malgré des efforts de parts et d’autres des
partenaires. Le pays accuse toujours une inefficacité quant à la résolution de
cette crise. Situation relevant de la désintégration de l’armée, une armée avide
des disciplines dû à leurs missions, de fait manifestement, un manquement des
moyens, de la formation et reconstruction de notre armée Centrafricaine
Républicaine et des services de sécurité d’intégrité territoriale.
À
cela met en évidence une exaspération et une incompréhension, qu’en se reposant
essentiellement sur les institutions internationales, plusieurs projets financés
par accords bilatéraux. Malheureusement, leur approche relève d’un modèle voué à
l’échec. Pour cause, la
nécessité d’une compréhension partagée entre citoyens et les militaires des
risques et des menaces sur la paix en Centrafrique, afin de rétablir l’unité
nation et patriotique, engrangeant le progrès social global.
Que
faire ? si seulement si, seule volonté politique, les compréhensions des enjeux
partagées peuvent, permettront une prise de conscience du caractère
indispensable des militaires dans la société et d’octroyer par là-même, les
moyens financiers nécessaires à leur action.
Parce
que les programmes sont définis loin du terrain par des étrangers intervenant
sur des périodes trop brèves pour comprendre les besoins et les capacités
locales. Ils ne peuvent aborder les aspects politiques Centrafricaines plus
concrètement, par ailleurs qui exigent d’en finir avec les promotions
clientélismes politiques, y compris des factions armées non-conventionnelles,
introduisent en leur sein des mercenaires ignorantes des stratégies politiques
Centrafricaines, seulement animer que par les pillages, et enrichissement
illicites dont la plupart ont une lecture partielle de leur présence dans ladite
mouvement qu’à cet effet. Le
pouvoir en place, a péché par manque d’une stratégie politique avant-gardiste,
aussi par manque de courage politique, de mettre en place une gestion des
ressources humaines fondée sur le mérite, la rigueur. On est loin du compte.
L’opposition
politique Centrafricaine, la plupart ont manqués de réalisme politique, animé
aussi par la soif de pouvoir, rien que le pouvoir. Egoïstement laisse l’espace politique a
tous les dérapages, des boules puantes, polluant complétement la seine politique
Centrafricaine, disqualifiant une meilleure approche de solutionnement
optimale.
Ces
potentiels candidats, le peuple est en attente des propositions politiques le
mieux approprier pour un avenir paisible.
Notre
pays n’est pas exsangue des hommes compétents, expérimentés et ayant un
savoir-faire. Il faudrait pour cela une forte volonté politique, à la
reconnaissance dans ces fils et filles pour une reconstruction notable dans nos
institutions. Le modèle et la réussite d’un pays comme rwandais à travers la
clairvoyance de leur chef suprême le président Paul KANGAME en démontre plus
nettement la volonté politique à la sortie de crise, une place nettement aux
fils et filles Rwandais(es) « la Diaspora de tout bord » selon les
profils, les compétences et expériences, l’intégrités, rigueurs…aux services de leur nation pour la reconstruction.
Une
volonté politique fait défaut pour la Centrafrique, Pays de tous les paradoxes
ou les recyclages de la médiocrité prime. Tout est question de bouffonnerie et
de l’appétence égocentrique et d’alcôve malheureusement.
Les
cycles de la lumière, reviendront et réveilleront un jour sur mon Pays.
Que
Dieu bénisse la Centrafrique et son peuple.
Diaspora,
Fait
à Lyon 13-07-2020
Mr.
Aubin-Roger KOMOTO
Une élection de tous les dangers, qui n'augure une paix incertaine. Par Aubin-Roger KOMOTO