Anticiper les questions de la gouvernance en RCA avec des dirigeants compétents : une étape clé d’une transmission réussie pour la génération future.

Cela se résume en deux mots « la compétence et de l’expérience ».

La pérennité de l’état en Centrafrique, doit se repose notamment sur  une existence structurée de la gouvernance efficace et accepté par tous les composants et acteurs socio-politiques, ainsi que la société civile. Il est essentiel de les mettre en place dans une logique d’anticipation des crises actuellement, pas toujours compté sur la communauté internationale, en particulier pour préparer sereinement la transmission des institutions d’États, et une alternance  future. Tourner en round et faire du surplace sera fatal encore de plus pour la République Centrafricaine, si ce qui se profile en préambule dans l’arrière-pays, des exactions continuelles sur la population, en vue de l’installation d’une nouvelle crise dans le Pays. Encourager de part et d’autre dans les postures calamiteuses des uns et, des autres sans qu’on puisse voir clairement une bonne démarche de résolution pour en sortir de cette crise. On propose au peuple des méthodes réchauffées, inefficaces sans espoir. La plus grande différence réside dans la gestion de cette crise. Les belligérants jouent sur la lenteur des décisions et les moyens qui pouvaient être déployés, à l’occurrence du dispositif de programmation, de désarmement, démobilisation, réinsertion (DDR), un avancé pénible, aucune perspective ou prospective d’avenir pour le peuple Centrafricain, alors en fait de la diversion en abusant les Centrafricains via les déclarations tonitruantes par des exhibir.

L’état Centrafricain doit s’inscrire dans une relation de confiance surtout vis-à-vis des Centrafricains (es), les partenaires internationaux, et notamment avec les bailleurs qui finance cette crise Centrafricaine. Ce lien permet aux dirigeants d’anticiper au mieux leurs besoins de la gouvernance, mieux embrayer  le processus de la reconstruction du Pays (infrastructure administrative, cadre juridique, cadre sanitaire, solvabilité socio-urbaine, l’éducation…etc.), et de la réconciliation entre le peuple Centrafricain, par un plan clair, programmatique de la bonne gouvernance, ainsi d’un retour d’État de droit plus ferme « la restauration, la réinstallation de l’autorité de l’État ». Il en va de même pour les aspects liés au développement économique, progressivement pour que la Centrafrique ne tombe plus aussi bas qu’elle en ait déjà. Le peuple à trop souffert des bêtises des politiciens affairistes et cruelles, ainsi que d’autres barbouses sanguinaires, schizophrène qui ont aucune logique politique, encore moins une vision de la gouvernance d’un État.

Certains pourraient, à ce titre, penser que gouverner, est tout simplement une histoire d’avoir le  pouvoir, au détriment de l’intérêt général. Il n’en est rien et cela représente à mon sens l’une des caractéristiques les plus importantes quand on se dit politicien. Les postures du passé, de beaucoup des hommes politiques, qui se qualifient à juste titre, nous ont emmenées tout droit au mur. Les mêmes faits continus de plus belle, sans aucune leçon tirée du passé. En Centrafrique, ce qui est très étonnant, ce manque de culture de responsabilité des gouvernants, absence d’une analyse profonde des situations. Chacun vont vers son intérêt personnel et égoïste.  Ainsi  de même l’opposition politique, les gouvernants ont laissés le pouvoir décisionnel dans la main, non seulement des assaillants « des rebelles de toute borne », et ainsi la communauté internationale qui démontre ces limites.

Par ailleurs les gouvernants, cachent leurs incompétences dans les calomnies, les manipulations. Quant à certains hommes politiques, que paradoxalement brillent, les uns et les autres dans les chrysanthèmes pour exister et persuadé se disent qu’ils font de la politique, via des  publicités mensongères  sous couvert de réseaux sociaux. C’est ça la politique à la Centrafricaine. 

Où va-t-on ? En Centrafrique ! À qui profitent les crimes sur les innocents de : (Bangui, Bambari, Bangassou, Bria, Zemio …etc.). ?!

Le retour de la Paix, la réconciliation toujours pas amorcé ! Aucune direction qu’amorcent le gouvernement actuel  et son n’équipe, afin de garantir l’avenir et la mise en confiance des uns et des autres, et le peuple centrafricain !

J’invite les dirigeants Centrafricains de prendre l’exemple de la réhabilitation de l’État Rwandais, ainsi que la restauration de l’autorité de l’État par Mr. le Président Paul KAGAME. Qui a su, et réussit la mise en place des processus de réconciliation véritable, sans cloisonnement ethnique, ni équipe des clubs des amis sans qualification (des bras cassés), et incompétents. Mr. le Président Paul KAGAME est non seulement a assuré, qu’il est le garant de l’unité et de la réconciliation du peuple Rwandais. Sa légitimité tient à la stabilité de son Pays, qu’il a su établir avec des acolytes compétents sans disqualification dans les franges de la population et la diaspora après le génocide de 1994. Parce qu’ils ont partagé le pouvoir avec les différentes composantes de ces compatriotes cadre intellectuels, scientifiques, sans oublié la jeunesse bien formée…etc. En tenant compte des leurs compétences et expériences, intégrités.

Par ailleurs, intégré certains éléments des Forces armées rwandaises dans la nouvelle armée patriotique. Unanimement, la bonne gouvernance, souvent mise au crédit du Mr. Le  Président Paul KAGAME, l’avenir nous dirons certainement, l’alternance se fera un jour dans la continuation de ce peuple mature, aimant leur Pays avec dignité, intégrité, respectabilité.

 

Fait, à Lyon 30/08/2017

Diaspora,

Mr. Aubin-Roger KOMOTO