Donner une perspective dimensionnelle de la bonne gouvernance, et de la compétence : à cours, moyen, long terme.
De Grâce, que cesses les sorties spectaculaires et des effets d’annonces d’opportunistes politiques, ou on connait les faiblesses claire « c’est pouvoir, et chercher un titre et l’honneur au détriment du peuple Centrafricain».
La traversée du désert qu’a connue le peuple Centrafricain depuis des décennies, qui ne cessent de défrayer le moral de notre peuple. A nouveau, une frange de la population Centrafricaine vienne à nouveau d’être frappée par les intempéries, cela s’ajoute sur les lots des souffrances du peuple Centrafricain livré à leur propre sort. L’expression « traversée du désert » qui dans le sens commun, et dans sa signification vivre une période difficile, nous rappeler l’histoire de l’Exode où Moïse fini par recevoir les Tables de la Loi ou encore la Tentation du Christ. Cette période difficile qu’à passer Moïse à travers l’histoire spirituelle où tout est possible … ou se perdre totalement, sombrer ou, au contraire apprendre en sortir grandi. Le peuple à fait rentrée au parlement, des élus (es) de la République désignés par le soufrage universel. Qui est supposé assigner une mission d’adhésion au nom de la représentation du peuple Centrafricaine, pour défendre l’intérêt général. Ces élus(es), que je suppose ont convaincues par leurs projets de société le peuple Centrafricain.
La République Centrafricaine a besoin d’un État fort, la force d’un dirigeant, on peut le mesurer par son anticipation dans les actions qui se poseront dans ce sens planifier, organiser, orchestrer : à cours, moyen, long terme et non, centré sur leur petite personne, trafiquer par des ambitions invétérés chroniques politiciennes. Si cette vocation première de faire de la politique pour une cause de l’intérêt générale, telle est ma forte conviction de la politique. Pour donner des moyens aux citoyens sur le plan : (de la sécurité physique et alimentaire, de l’éducation, de la santé, se vêtir, mieux se loger…). Garantir la liberté de ses citoyens. Aujourd’hui quoiqu’il en soit, la République Centrafricaine est redevenu un État normale de droit institutionnel Républicain, de plein droit pour les citoyens Centrafricains, pour leur bien-être. Se doit d’assurer la sécurité au sens large et de rendre la justice sociale de manière efficace.
Si notre État, la République Centrafricaine a de nombreux atouts, il a aussi des fragilités hors mis cette assise incessante, insupportable de faction armée non conventionnelle dans notre Pays. J’en ai la conviction, les dirigeants peuvent être surmontés tout ça et respecté le peuple centrafricain ! Les communautés internationales sont aux chevets de la République Centrafricain. Mais le plan de travail incombe aux dirigeants de proposer une bonne feuille de route, le plus pragmatique possible. Dans les résolutions de nombreux problèmes qui saignent le Pays et ces peuples. Au passage des reconstruire notre cher patri. Elles nécessitent une vision claire de la politique envisageable à mener, des actions résolument de la bonne gouvernance des dirigeants Centrafricains, une volonté politique immédiate programmatique et précise, à court, moyen et long terme dans des reformes structurelles innovantes moderne et technologique, des infrastructures à rebâtir et requalifiés pour mieux préserver notre jeune démocratie naissante. Tout mettre en œuvre pour éviter que le moral des Centrafricains soit à nouveau sapé par des événements désastreux. Il faut des compétences réelles, de l’expérience, de l’intégrité, le sens du devoir bien fait des dossiers de l’état. En ayant des capacités d’apprécier un dossier, pour mieux les appréhendes des faits. La gouvernance ne s’improvise pas, il doit être organisé de manière méthodique et scientifique. Surtout que nous sommes dans un monde, plus que jamais globalisé, de surcroit moderne. Un pays qui maitrise son système d’information, est un pays qui ne sera jamais à la traine de la globalisation. Les échecs continuels de la gouvernance quel que soit une entité directionnelle, politique (Etat, Entreprise …) se caractérise en grande partie du non maitrise du système d’information, de l’incompétence des acteurs en situations, s’ils n’ont pas la clairvoyance et, la prise en compte de l’importance de système d’information maitrisé. Cette incompétence, peut-être aussi adoubée d’une mauvaise information. Comme très souvent en Centrafrique les rumeurs font office d’information…mais pas d’analyse objective, un tremplin pour la manipulation subversive et la mauvaise gouvernance, dans les pratiques éhontées des politiciens. Mon écœurement est total, de ce fait d’entrée disqualifies beaucoup des fils, filles dignes et compétents de notre Pays qui connaissent bien leur pays et la dimension de l’Etat, des vrais patriotes. Nous avons un gros problème. On ne peut pas gouverner ce pays comme-ci la situation est normale. Ou de manière mathématique comme disait l’autre. Nous avons aucuns fondement dans l’optique technologique de la gouvernance de l’Etat, de fait de l’urbanisation du système d’information proprement dit. Pour une gouvernance cohérentes, transparentes, aussi efficace. Des mauvais acteurs, pour des mauvaises raisons pratiques. Notre Pays ne pourra jamais avancer, pour des aspérités incongrues le plus insultante dans ce début 21ème siècle dans notre Pays. A croire que l’excellence na pas sa place en République Centrafricaine. Les générations d’après l’indépendance, de premiers, deuxièmes, troisièmes autre… cette jeunesse sans avenir visible et non solidaire dans la République, c’est le moment propice de construire et de consolider des institutions Républicaines. D’instaurer et de conscientiser la jeunesse sur les mérites, des efforts dans le travail. Cette jeunesse ne pouvait plus attendre, et de voir l’avenir de la République Centrafricaine, ne soit hypothéquer dans le bras des seigneurs de guerres, et les politiciens véreux ou en herbe. La sécurité de la République Centrafricaine, devrait faire la priorité de tous les Centrafricains, pour en faire un peuple et une nation unifiée. Le rétablissement du bon fonctionnement du système judiciaire avec des moyens plus moderne, le respect du droit de vivre ensemble avec principes Républicains de tous les citoyens confondus, lutte contre la criminalité illégale des bands armées non conventionnelle, voix et moyen : rétablissement de la discipline et de l’ordre établie des institutions : les défis pour l’État de la République Centrafricaine, non seulement sont nombreux. Mais les valeurs, la conception de l’État de la nouvelle Centrafrique, cette nécessité de recentrer sur ses missions premières dans ces reformes structurelles modernes, qui peut aussi se caractérisé par un projet de l’urbanisation de système d’information en vue d’une bonne gouvernance avenir. Hors mise la situation des factions armées éléments perturbateurs de la sérénité de l’Etat, et le peuple Centrafricain. De ce fait, devrait s’ouvrir un débat essentiel dans le gouvernement installé depuis plus de 100 jours maintenant après tous ces traversés du désert. Les consultations des différents antagonistes, quelques soit, les factions armées non conventionnelles, politiques, les professionnels de la sécurité et de la justice : magistrats, policiers, gendarmes, directeurs de prison…tous les commis de l’Etat doivent prendre conscience de l’état de notre Pays, faire leurs travails avec dextérités, déontologies, disciplines pour redonner à l’État une force et autorité pour accomplir ses missions.
Le futur se cache souvent dans nos rêves
Donner un nouvel espoir au peuple Centrafricain. A notre pays qui est une Centrafrique meurtrie depuis des décennies dans sa chère patrie. Suit aux actions aggravante, dévastatrices par des factions armés et de la mauvaise gouvernance des politiques en générale. Tous les Centrafricains(es), doivent chercher à la renaissance franche de leurs Pays. Un espoir entre guillemet, naissant depuis cette démocratie embryonnaire qui devrait œuvrer pour une nouvelle approche d’une gouvernance moderne & technologique, transparente cette atmosphère devrait caractériser notre nouvelle Centrafrique. Et non à la rechercher du gloutonnement, rien que le gloutonnement. Les Centrafricains ont besoins d’une rupture par rapport aux pratiques du passé, afin d’émerger dans ce monde de plus en plus mondialisé et moderne. D’autre Pays d’Afrique, connaissant les génocides, la Guerre civil, s’on ait bien sorti. On prit le bras le corps comme un seul homme… Pourquoi pas nous en Centrafrique ? Pour la première fois dans son histoire le peuple a choisi, que j’espère que c’est le bon choix. A la tête de l’Etat Centrafricain un président dicton de réputation scientifique. De fait aucune raison de ne pas avoir de l’espoir. L’attente est à la rationalité dans des décisions et de la Gouvernance de l’Etat. Les Centrafricains ont espérés et voulues. Il ne faut pas que ces espérances ne se traduisent en désillusion. Il suffit de…, de faire autrement, ne pas produire les mêmes effets du passé.
Fait à Lyon le 2/08/2016
Diaspora, Mr. Aubin-Roger KOMOTO