Point de vue. 

Faire de la réclame, comme une stratégie politique de la défense nationale ! ? Alors que les exactions continues dans l’arrière-pays sur le bas peuple, n’est aucunement responsable.

 

Niée, une incapacité d’agir politiquement face à la situation. Une absence de vision politique patente et manque de pragmatisme à la matière. Que les enfumages s’arrête, le peuple veut vivre !

 

Face à l’ensemble des risques sécuritaires, humanitaires, pertes de souverainetés, vues les menaces des factions armées multiformes « directes ou indirectes » en République Centrafricaine! Qui ne cesse  d’affecter nos couches sociales de notre chère patrie. Les méthodes appliquées pour une stratégie de la défense et de sécurité qui devrait s’articuler sur une stratégique plus crédibles bien cadrier,  sur un  modèle clair d’armée Républicaine et patriotique, cohérent et complet qui assurera la protection du territoire national et de nos concitoyens. De fait, la préservation des fonctions essentielles régaliennes et des institutions Républicaine en Centrafricaine.

 

Hors mis les souhaits du réarmement des forces de l’armée Centrafricaine qui ne cesse d’animer toute la Nation Centrafricaine, des doléances des dirigeants auprès de la communauté internationale. En effet, tous sont d’accord « Un Pays ne peut pas demeurer sans son armée digne de ce nom !», malgré tout, des réponses partielles, mais tout de même utiles pour la formation des nouveaux soldats Centrafricains, et encore ? Son impulsées en effet une solution dans l’état de l’Art, afin de l’obtention d’un résultat ! Par ailleurs, absence total sans aucun doute d’une mise en place des conditions optimales pour l’avenir des forces armées Centrafricaines. Les démarches proposées par la communauté internationale, cette démarche fait une figure de proue, tout simplement. En dehors aussi des réclamations d’aides de renforcement de force étrangère de soutien… ! Sans déterminiter une stratégie de quadrillage et de la défense sur l’étendu de notre territoire, en vue de relever le défi sécuritaire au cœur de notre stratégie de défense et de sécurité nationale.

 

Ps). : Il faut que les dirigeants Centrafricains, doivent se rendent compte que ce n’est pas aux étrangers « communautés internationales (MINUSCA)  » de définir une stratégie de la défense à notre place. 

 

Ce que l’État Centrafricain devrait par ailleurs donner, comme orientation de la protection de notre Pays et son peuple, notre richesse ! En guise de la restauration de l’autorité de l’État dans son intégrité!

 

• En mettant les bases des principes de dissuasion dans la stratégie de l’armée Centrafricaine, strictement défensive, protégeant notre intégrité territoriale  contre toute agression d’origine des factions armées non conventionnelles contre les intérêts vitaux de la Nation, d’où qu’elle vienne et quelle qu’en soit la forme première.

 

• Certes, les interventions de la communauté internationale via les casques bleus, ne suffisent pas. Puis d’ailleurs elles ne seront pas permanentes, ni un caractère définitif.  Contrairement à nos forces de défense, si cette dernière sera bien former dans l’ordre disciplinaire, et  reconstruite correctement, et mettre toute les options nécessaires pour les conditions opérationnelles, permet par ailleurs, d’assurer la protection de notre territoire, les citoyens Centrafricains, contre tous ces prédateurs, œuvrant que pour leurs intérêts, pour les intérêts de leurs alliés étrangers. Cette future force de l’armée Centrafricaine, devrait être bien doter, afin de défendre nos intérêts stratégiques, comme ceux de nos partenaires et alliés œuvrant plutôt pour une coopération bilatérale sur un plan d’aide au développement sociale  et économique, et d’exercer nos responsabilités internationales.

 

        Rendre visible notre force de la défense sur l’étendu de notre territoire, en déployant les moyens, à la reconnaissance, anticipation garantissent notre appréciation d’autonomie de la situation et notre capacité souveraine de décision.

 

        Une capacité de prévention concernant tant le territoire national, en dehors de nos frontières, que des actions aléatoires de perfusions pour l’instant de la communauté internationale révèlent inefficace. Une autre approche, elle permettra la mobilisation efficiente, et efficace ainsi à la coordination des capacités de gestion de crise. La Centrafrique est plus que jamais menacer, vu le contexte sécuritaire dégradant, qui atteint un  niveau de menace inédit sur notre territoire national, ne cesse d’endeuiller le peuple Centrafricain. Tous les dirigeants politiques devraient, en principe de mesurer de manière sérieuse cette situation, aux affaires ou pas. Les multiplications des crises, des conflits intercommunautaires, banditismes à outrances infra-étatiques, des rebelles transnationaux, mercenaire venons d’ailleurs se greffe sur le désordre Centrafricaine, suite à une incapacité des dirigeants Centrafricains…etc. Avec un retour en force et des prédations sans état dame, les caractères dissuasives, des bases militaires,  dédiées aux  forces de la Défense Centrafricaine est nécessaire, dans les quatre coins quadriennaux sur le territoire Centrafricain. En tenant compte, des conjectures internationales de spectre large, des fanatiques qui se déclineront par une mondialisation des exactions sur des pauvres populations sans défense, par des préceptes inqualifiables d’autre temps… !. Avec une pression dans l’espace et la manipulation idéologique, comme arme d’influence et de destruction massive.

 

·         Des points essentiels de vigilances, vue la situation gangrènantes de la  fragilisation de presque tout le continent d’Afrique, le moins organiser, moins avertis, qui combine crises économiques, communautarismes et vulnérabilités sociales. La proximité, la diversité, la combinaison de menaces asymétriques, dysfonctionnelles, hybrides, avec un ennemi transnational « le terrorisme islamiste (boko-aram), mieux structuré et plus contagieux ». Le durcissement et la complexité de modes d’actions « hors limites ». L’extension de la situation sur un plan politisé, la simultanéité et la perméabilité des champs d’application sur les populations qui n’ont rien avoir avec la politique, qui souvent se contentent de leurs petites vies, afin de rependent à leurs besoins vitaux et familiales.

 

Il faut vraiment faire attention… !

 

Notre Pays cours des risques apparents d’une fracture profonde de sécession, le souhait de la reconstruction d’une armée nation et patriote aux services de la nation, pour la protection de peuple Centrafricain, ainsi assuré l’intégrité territoriale de la Centrafrique, afin de permettre la restauration de l’autorité de l’État devrait être un point d’encage de tous les Centrafricains(es), politiciens ou pas.

 

La sécurité du territoire national, dans son ensemble de protéger des Citoyens Centrafricains(es)

 

Quels sont les actions prioritaires ? Vue l’impérative de la somme ! Qui garantiraient  l’efficacité opérationnelle des forces de la défense qui seront formées par les partenaires, et mises à disposition des forces des armées Centrafricaines.  Afin de mieux cadrier  les zones contenants les foyers des crises permanentes, de surcroit, qui ne cessent de déstabiliser la population dans leur vie, ainsi de faits les plongés dans des incertitudes continuellement. Avec insistance, c’est bien de former les soldats. Un grand souhait de tous les Centrafricains, puis il faut les réarmées les forces Centrafricaines, afin que cette dernière puis être envoyés en mission avec une meilleure condition de travail réunies.

 

Une préalable, la mise en place des bases militaires dans ces zones-a conflits. Une base militaire permanente. Pb). : La construction d’une base militaire, construite selon les normes des bâtiments qui s’avère onéreux et très long retarderait beaucoup de choses, et susciterait des prétextes…infinis, de même !  La situation de la République Centrafricaine ne les permet pas. Nous sommes dans l’état d’urgence, alors il y’a d’autre alternative à cela. 

 

Les choix dans l’impératives, c’est l’option d’une construction d’une base militaire dans un espace dédié, avec des bâtiments en « ALGECO », cadrier avec des clôtures nécessaires pour la protection des garnisons, est la plus adéquate et rapide. Et moins couteux, doter d’une  intendance militaire, et dortoirs en maintien opérationnelle pour des périodicités tournantes des missions avec une stratégie et ordre de missions de bataillant ou peuletemps  de  3 à 6 mois dans les zones des crises, avec de turnover, et retour à la base au Camps Kasaï à Bangui comme point de rupture de mission et bilan opérationnel, ainsi suivit d’une permission de repos,… formation, consolidation pour une nouvelle mission. Très souvent, faut de moyenne, ces soldats se voient  squoater des espaces publiques  inappropriés,  tel que (les écoles, les terrains vagues sans protection, ni condition de repos nécessaire), qui rependrait à une discipline militaire…pour des campements sauvages, qui rends très souvent, non seulement une rupture dans les chaines de commandements, de surcroit aggraver l’inefficacité dans les actions dans leurs missions.

 

Aussi en sachant qu’un campement sur un terrain vague, ou dans les classes des écoles…constituent une situation temporaire, aléatoire …non dissuasive pour une efficace vis-à-vis des citoyens persécutés. Ne remplissant pas à une discipline militaire ! Et par ailleurs, on s’étonne des dérapages militaires. Ps). : Il faut vraiment faire les choses bien et  efficacement, afin de mieux rassurer la population par ailleurs. La permanence d’une base ou un camp permanant, permet une progressivité de la restauration de l’autorité de l’État, avec ces administrations décentralisées, encourageraient, non seulement les retours progressives des agents de l’État, ainsi les administrés.

 

Les points et les aspects soulevés de la consolidation d’une stratégie, dans cette proposition et les enjeux :

 

1.      Garantir la préparation opérationnelle de nos soldats,

2.      Régénérer les capacités critiques et améliorer la proactivité d’intervention militaire

3.      Monter en puissance dans des domaines militaires multiformes « Intervention, cadrage humanitaires et protection »,

4.      Garantir le soutien des engagements opérationnels ainsi que sur le plan organisationnel, qui permettra à chaque difficulté, redéfinir le cadre de mission des bataillants ou peuletemps en mission,

5.      Garantir la protection de la population vis-à-vis des emprises des factions armées non conventionnelles sur les citoyens, pérennisées les soutiens à la matière de la défense territoriale, en vues des manœuvres des effectifs

6.      Soutien à la matière logistique et autres…, qui veilleront aux morals, disciplinaires en faisant effort sur les conditions des militaires et la cohésion du groupe,

7.      Consolider les systèmes d’information de l’armée, afin de mieux rependre à leurs besoins, de progressions, et indemnités,

8.      Rationaliser, suivis des structures, la simplification des procédures d’affectation, et rassemblement, la densification des emprises de maintiens opérationnels, dans une logique d’efficience opérationnelle,

 

9.      Placer la finalité opérationnelle au cœur des décisions de défense, contribuer à la cohésion nationale, et l’esprit des corporatistes dans le groupe, pérenniser, la maîtrise dans les zones des crises en matière de la protection civile, ainsi partager une vision à court et moyen,  long terme

 

Vive la renaissance de la République Centrafricaine.

 

Fait, à Lyon 26/09/2017

 

Diaspora,

Monsieur Aubin-Roger KOMOTO