Les
nouvelles problématiques de l'insécurité en « République
Centrafrique ».
Une
situation capitale persistante, entretenue par beaucoup de supposer politiciens
qui se retrouvent aujourd’hui aux affaires dans cette mandature couplée
(exécutive, et législature). Un classique, qui fait des mécontents par
ailleurs…etc. Thème central de portée nationale me semble-t-il restera une plaie
gangrénante, si les dirigeants actuels, se contentent des effets d’annonces, à
travers des sorties spectaculaires, et s’installer dans les rhétoriques sans
aspérités. Tandis que les Centrafricains continuent de souffrir de plus en plus.
L’exécutif doit user de sa légitimité, poser des actes de l’autorité et de la
gouvernance réinstallée des institutions. Les législateurs doivent exercés sans
ambigüité le contrepouvoir sans complaisance pour la survie de la République
Centrafricaine, de la nation. Trouver des solutions plus efficaces pour l’avenir
et la prospérité. Les derniers
scrutins manifestement, ont exprimés le souhait des Centrafricains de tourner
les pages et aller de l’avant. La situation des crises Centrafricaines, depuis
longtemps ont suscités des analyses et commentaires, visiblement sans qu’une
solution radicale soit prise, la délinquance, les banditismes urbaines ne
cessent de grandirent. Pourtant les questionnements sont bien poser, ainsi
établies des états des lieux son ferme, incontestable.
Nous
ne dirons pas assez, les dirigeants actuellement, ne ferons pas, me semble-t-il.
Ils ne sont pas novice de la situation actuelle, et que, qu’ils découvrent des
héritages des tâches tant
convoitées par tous les moyens, qui t’à
œuvrer de manière subversive, maintenant se retrouve les pieds à
l’étrier. Le peuple veut, non
seulement voir du pragmatisme dans la gouvernance, de l’efficacité, de
l’efficience des actes posées. Depuis de nombreuses années, le débat de la
politique Centrafricaine tourne autour de la mauvaise gouvernance, maintenant
figé entre les groupes armés non conventionnel, sans avoir peur des mots deux
intégrismes majeurs. L’excuse absolutoire
sanguinaire, des factions armes non conventionnel qui considérait par leurs
forfaits continuères, d’endeuiller beaucoup des familles, créer par ailleurs des
victimes sociale. Faction armés non conventionnel, donnant des raisons supposées
d’une révolution nécessaire, a raison ou à tort. La répression aveugle,
considérant par principe tout acte de barbaries comme un crime humanitaire, ne
se préoccupant pas des conditions du passage à l’acte criminel, et réglant la
question par une simple élimination physique humaine, causé au passage des
souffrances irréparable, irréversibles. Aucun de ces deux extrémismes ne
s’occupant d’ailleurs de la question des victimes occasionné au passage.
L’insécurité n’est pourtant ni ce “ vent mauvais qui nous viendrait d’ailleurs,
ni aucune différenciation de l’espace attitré, quel que soit le milieu des hommes politiques
Centrafricains, que les factions armés non conventionnels. qui lierait, dans des
formules sans fondements, délinquance institutionnelle pour les politiques,
banditismes notoires pour les factions armés.
Le
peuple Centrafricain on crut élire
à la tête de l’Etat des hommes nouveaux. Dans leur grande sagesse pour une
nouvelle destinée, force de constater les désespoirs, et les désillusions
commence à se sentir malheureusement. Les appelés au respect et à l’application
des résolutions des Nation-Unies ne suffisent pas, sans actes salutaires
d’autorités sur le terrain et ne pas entendre les cris des souffrances des
Centrafricains sur le terrain a souvent provoqué l’échec des équipes sortantes
ou ceux qui se qualifies entant que tel « opposants politiques ». S’il
y a vraiment des opposants politiques, pour ne pas dire des hommes politiques
Centrafricains, qui se qualifiant a juste titre. En grande partie, des coureurs
des dotes ou mangeoiristes. Les risques au niveau national sont fortes, il faut
que le Chef de l’Etat et son Gouvernement se réveilles de leurs sommeilles. Les
effets dramatiques qu’a connus notre Pays, risque de se reproduire et
d’amplifier le phénomène qui se profile. Il faut garder en vue la Justice et
Rétablissement de l’Etat de l’autorité de l’Etat sans
concession.
Fait
à Lyon le 05/07/2016
Diaspora,
Mr.
Aubin-Roger KOMOTO