LE
PRÉSIDENT CENTRAFRICAIN TOUADERA, LE PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE
MECKASSOUA ET LA SELEKA
afriquenewsinfo.net - 9 mai 2016
DÉSARMEMENT
DÉMOBILISATION RÉINSERTION (DDR)
PRIORITÉ
DES PRIORITÉS : LA SÉCURITÉ
Il
faut agir avec autorité. Suivre les souhaits du peuple, qui veut un désarmement
sans condition, des criminels de guerre. Les traduire devant la Cour Pénale
Spéciale pour le Centrafrique.
Le
processus du redressement et de la reconstruction de la RCA, ne s’engagera, que,
si la paix règne sur tout le territoire. Qui si, la concorde et la fraternité
règne entre tous les Centrafricains, de toutes confessions religieuses. Qui si
les politiciens centrafricains, qu’on entend plus beaucoup ces
temps-ci.
Donnent
de la voix pour stigmatiser, les bandes armées et les sommer de se plier au DDR.
Aujourd’hui, en Centrafrique, il y a un Président massivement élu, par des
citoyens désireux d’en finir avec le chaos chronique. De bâtir une nouvelle
Centrafrique, avec des frontières sures et garanties, par une Armée Nationale
républicaine et crédible. Ce retour à une Centrafrique souveraine aux frontières
sures, doit avoir des dirigeants exemplaires. Ayant de l’autorité face aux
bandes armées en aux pressions politiques.
LE
PRÉSIDENT TOUADERA FACE AUX SÉDITIEUX SÉPARATISTES DE LA
SELEKA
Ali
Darass Mahamat chef Séléka de l’UPC. Qui a pris la Kotto, en otage, nargue et
éructe sur la légitimité du DDR du Présidant Touadera. Il a déclaré récemment
rapporte La Nouvelle Centrafrique (LNC) : « Où, est la souveraineté de ce
Président, il ne quitte pas Bangui et veut négocier à distance… » Quelle
arrogance de la part d’un sursitaire de crimes de guerre et contre l’humanité,
de la Cour Pénale Spéciale pour le Centrafrique.
A
travers son Président, c’est le Centrafrique et son peuple, que ce mercenaire
Nigérien provoque. C’est la communauté internationale qu’il défie. Touadera doit
chercher, par tous les moyens, et il a raison de négocier. La Séléka ne doit pas
considérer la main tendue du Président comme un signe de faiblesse. On apprend
d’autre par que le Président de la République à désigné, Le Président de
l’assemblée Nationale, élu avec des voix de Députés corrompus pour mener les
négociations avec les Sélékas majoritairement musulmans. Karim Meckassoua étant,
lui-même musulman.
En
agissant ainsi, on donne raison à la Séléka, qui ne semble reconnaitre la
légitimité du Président massivement élu. On acte, et c’est grave, l’entité
communautariste religieuse. Le Centrafrique est une République laïque. Ce sont
les Sélékas a majorité musulmane, qui au nom de leur religion ont basculé le
Centrafrique dans une tragédie sans précédent. Beaucoup de leurs chefs
revendiquent, toujours la création de Califats aux pays des
Bantous.
DÉSARMEMENT
PAR LA FORCE INÉVITABLE
Karim
Meckassoua, doit solennellement et publiquement jurer loyauté envers le
Président Touadera. Car, il est à craindre que le Président de l’assemblée
Nationale, n’utilise le perchoir comme, un contre-pouvoir qui ne dit pas son
nom. Une personne qui est capable d’acheter des voix d’électeurs, de corrompre
des Députés, interpelle au sujet de ses futurs desseins. Sur le comportement
inacceptable de Meckassoua, la classe politique centrafricaine, à opté pour un
silence assourdissant. Dans certains pays, la Chambre des Députés serait
immédiatement dissoute Touadera doit garder la direction des négociations avec
les Sélékas. Avec le concours des dignitaires religieux et la société
civile.
Il
faut prendre le peuple à témoin, et régler au plus vite la problématique du DDR.
Les choses doivent être clairement énoncées. Il faut dire aux bandes armées, de
se soumettre au DDR sans condition. Pendant qu’il est encore temps. Si non, ce
sera la confrontation : La Nation Centrafricaine contre les bandes,
armées.
CENTRAFRIQUE
NA NDOUZOU ! (Debout le Centrafrique !)
Joseph
Akouissonne
ANI