Tout et son
contraire, politiquement correct au Pays de Barthélemy Baganda.
Les
images ostentatoires des chefs des guerres, publiées sous les médiats toilés et
écrits avec la déclaration va-t’en guerre clairement et fièrement sur fond de
misère et de ruines respectivement de peuple Centrafricain et des institutions,
présentant le caractère de défiance continuelle vis-à-vis des autorités
Centrafricains.
Malgré
tout :
« au pays des Aveugles les Borgnes
sont Rois »,
Soit
ainsi dire aussi autrement :
« au royaume des sourds les aveugles
sont muets ».
Mes
chers compatriotes, Ça veut dire que
tout est relatif en Centrafrique. Les borgnes n’ont qu’un œil « Partition », et ont donc un
avantage sur les aveugles qui ne voient rien du tout « La politique
d’Autruche ».
Le
contraste déclaratif des autorités, sorties et représentées par l’un des chefs
aux abois, en adoptant un langage "politiquement
correct" qui cherche à ne
déplaire à personne, à ne
froisser aucune susceptibilité en particulier dans les groupes
armés, les chefs rebelles. C’est une erreur, laissant « En pâture la masse populaire
Centrafricaine en souffrance ».
Visiblement
l’esprit de vengeances,
rancœurs et envie de partition de la République est clair, qui jette depuis
longtemps une base aux yeux de tout le monde et, de la communauté
internationale. Pourtant qui s’est confirmé à la suite de l’éviction du pouvoir
transitionnel de la coalition Séléka, du pouvoir national, par la force des
choses, se sont repliés dans l’arrière-pays vu l’échec
national.
Ceci
dit malgré la remise de l’ordre
constitutionnel dans Notre Pays, le Pays que les mêmes prétendants, ne cessent
de dire que c’est aussi leurs Pays, par ailleurs ne respectent pas les
institutions et les autorités légales du Pays, œuvrant péniblement dans les
élans de la restauration des autorités de l’État sur l’entendue du territoire…
Que des résistances, des tentatives, qu’entraves à tous les processus de
restaurations en cours. Empêchant, fièrement et occupant plus de 75% du
territoire de la République. La
République ne s'est pas relevée comme un seul homme suite aux nébuleuses
machines de guerre. Les précédents pouvoirs dans leurs mauvaises stratégies de
la Gouvernance ont mis en place
cette situation infernale. Les dirigeants en place et l’opposition,
respectivement sont frappés d’Amnésies et de Schizophrénies au lieu de
réinventer, affirmer, en donnant une réponse de fermeté de cette occupation sous
la dictée de la mémoire résistante des factions armées non conventionnelle dans
notre Pays. En lieu des déclarations des complaisances
aux demandes réitérées
une stratégie de dialogue, ce qui n’est pas au goût des groupes armées
non-conventionnels. Ce qu’est-ce qu’elles se moquent éperdument. Le pouvoir
Cherche le réconfort dans un mythe stratégique qui n’a pas de sens. L'unité
nationale devrait être construite et imposée avec autorité, Messieurs les
dirigeants. Une Paix est à reconquérir
avec fermeté... exemple de la Syrie et d’Irak…! Ce n’est plus un problème
des musulmans et des Chrétiens, mais le peuple de Centrafrique uni
« Nord-Sud & Est-Ouest » mes chers (chères) Compatriotes.
Un appel aux
différentes factions armées non
conventionnelles.
Vous ne pouvez
pas confondre de faire la politique, prendre les armes, pour revendiquer
l'équité et vouloir diriger une nation avec les armes en main et les persécuter
en même temps.
Aux dirigeants
politiques,
Vous œuvrez, pour
la promotion des hommes armés, dans leurs qualités des membres des factions
armées non conventionnelles de faire des futures dirigeants, ministrables,
conseils ...sur le même peuple qu’ils ont
persécuté.
On se souvient
tous des libérateurs..., les mêmes qui se sont déversés dans les factions armées
non conventionnelles, jusqu’ a la prise du
pouvoir...nous avons vu les limites dans la gouvernance, et les conséquences
désastreuses sur le plan économique, humain et social. Si on se réveillait dès
maintenant, il n’est jamais trop tard.
Espérant que
cette nouvelle année 2018, apporte la clémence, la sérénité et la Paix pour mon
Pays.
Que dieu bénisse
la Centrafrique.
Diaspora
Monsieur
Aubin-Roger KOMOTO
(29
décembre 2017)