Une nouvelle descente à l’enfer pour le peuple Centrafricain ! Les psychodrames s’arrêteront- elles en Centrafrique ?

 

Une descente à l’enfer, les échecs de la gouvernance de tout le pouvoir en Centrafrique, devrait servir au pouvoir actuel Centrafricain comme une chance de se réinventer la stratégie de la Gouvernance.

« Quand vous jouez une note, seule la suivante permettra de dire si elle était juste ou fausse. »  -MILES DAVIS-

La note que joue aujourd’hui par les deux têtes de l’exécutives elles sont ripées, et fausse.

Les observations, les constats, les alertes dans tous les sens, sans risques : Résultat les 70% du territoire Centrafricain est occupé par les factions armées non conventionnelles. Une gouvernance hasardeuse, les traitements de crises, une approche des vieilles recettes  La République dans l’inertie politique, une gouvernance sans contenue.

La subjectivité c’est la vérité -Kierkegaard-

Qu’est-ce que devient  l’homme Centrafricain dans son existence en dehors de la politique ? Une essence bien loin humainement !

 Une République en rupture avec ces sujets. Ils sont pris en otage entre les factions armes, et la rhétorique des hommes politiques Centrafricains « insupportables ». À les entendre,  les adeptes chevronnés, aveuglés derrière les supposer leader politique contribuent à part égale avec les factions armées à la descente à l’enfer de la République. Les Centrafricains veulent seulement existés, les politiciens, ceux  qui se qualifient entant que telle, sans fondement, qu’il est inutile de développer les réelles motivations, qu’on connait ! En tout cas, pas pour cette mission noble qui est la politique ou celle de la bonne gouvernance, mission pour aider les plus démunies des Centrafricains. De fait  permettre une meilleure condition de vie, soit  favorisé le développement économique, épanouissement humaine dans l’éducation et formation, des meilleures propositions des prises en charges sanitaires et soins, des infrastructures (urbaines, administratives, sécuritaire, remettre de l’autorité de l’État. Autant que faire se peut de la République Centrafricaine. Pouvons-nous, qualifier la situation du Pays comme des actes manqués ? Faut-il y faire attention ? Les actes manqués sont des actions que l’on effectue sans s’en rendre compte, apparemment absurdes et surtout sans aucune logique. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un raté, d’une erreur, qui ne serait pas due à un manque de compétence, de force ou de vigilance, mais à une action involontaire de notre esprit, à une sorte de sabotage de notre inconscient. Ps) Le président de la République avait fait une grande promesse durant sa compagne d’œuvrer pour une rupture, et  pour ramener la Paix aux Centrafricains(es), de manière consciente, en sachant que le travail sera rude. Donc qu’il faut des gens compétents, intéressés, animés  par la seule vocation d’œuvrer pour la relève de notre Pays !

Les scripts incompréhensives, ainsi que les requêtes jouées par la communauté internationale qu’elle veule existé sur ces vastes champs chaotiques. Malheureusement, elle  entretienne un flou artistique la MINUSCA, malgré le mandat clair, en absence de l’exigence pour l’application, par les dirigeants Centrafricain, afin de pacifier de Pays ..., Comme disait Mme Martine Aubry, sur Le président Français Mr. François HOLLANDE, quand « y à un mou, y à un flou ». Un espace de tous les dangers ou des gens paisible veut seulement existés. Le peuple Centrafricain subit, et les bêtises dans les cruautés continues.  L’existentialisme est une philosophie de l’homme (et non une philosophie des idées). C’est une philosophie de l’existence qui réfute l’antériorité de l’essence sur l’existence.  Donc « l’existence précède l’essence » Cette affirmation de Mr. Jean-Paul Sartre semble compliquée, mais elle ne l’est pas. Elle signifie simplement que nous sommes libres d’exister, de nous inventer et de nous rectifier dans le temps de notre vie, au fur et à mesure de notre histoire.  

Appelles, aux factions armées, ainsi que les hommes politiques sans fondement, cessent de prendre les Centrafricains en otage. Que c’est précisément cette histoire si chaotique depuis l’indépendance de la République, une histoire de la gouvernance désastreuse que les Centrafricains subissent aux mépris de leurs existences, qu’il faut se réinventer, la stratégie de la gouvernance maintenant ou jamais, entourés de gens compétents, réellement intègre, une expérience de la conception des projets, de la gouvernance, dans l’élaboration conceptuelle, organisationnelle de l’État, ainsi que l’application dont l’initiative est au seul chef des intérêts générales des Centrafricains. Avoir une vision de la bonne gouvernance dans l’espace si confiné qu’il faut avoir une réelle vocation, la volonté de bien faire et mieux. Cette première, non une « essence » qui serait par nature ce que Dieu a voulu que nous soyons en République Centrafricaine, ou ce que notre génome ou notre classe sociale nous déterminerait à être.

Fait à Lyon 16/06/2017

Diaspora,

Mr. KOMOTO Aubin-Roger