Election
présidentielle : - Citoyenne, Citoyen, le 14 Février 2016, il ne faudra pas
se tromper car ton Avenir en dépend… –
dixit
DARLAN Christian-Dominique.
Jeunesse
Centrafricaine : « -l’époque du TABA (mouton) qui suit, sans réfléchir, est
révolue : - Sois Patriote et FAIS LE BON CHOIX ce 14 Février 2016 lors de
ce 2ème Tour de l’élection
présidentielle ».
Le nom que tu vas choisir et cocher lors de ce 2ème Tour est déterminant pour Ton Avenir, l’Avenir de ton père, de ta mère, l’Avenir de ta femme, l’Avenir de ta sœur, l’Avenir de ta copine, l’Avenir de ton copain et l’Avenir de tes enfants aussi en dépendra………- DONC, il ne faut surtout pas faire le mauvais choix.
La case que tu vas « cocher » t’engage Toi et le Pays tout entier pour les 5 prochaines années, car tu ne pourras plus revenir en arrière. - Tu ne pourras plus intégrer une quelconque et hypothétique rébellion car le résultat final exprimera l’option de la majorité du Peuple Centrafricain qu’il faudra respecter et tu devras faire avec, d’où mon appel solennel de ce jour de Janvier 2016.
– Citoyenne,
Citoyen, une erreur à ce niveau peut bloquer le Pays tout entier et c’est
encore Toi, Jeunesse centrafricaine, femme centrafricaine, Agriculteur et paysan
centrafricains, Waligara centrafricaine, Bouba-Nguéré centrafricain,
Fonctionnaire centrafricain, Nagbata centrafricain et Militaire centrafricain
qui va souffrir – OUI, c’est encore Toi qui sera le grand
perdant, c’est encore Toi qui n’aura pas de véritables solutions à tes problèmes
de tous les jours, c’est encore Toi qui va payer les pots cassés.
Cher Compatriote, dis-moi
quel âge as-tu ?.... – 20 ans, 30 ans, 40 ou 50 ans… eh bien, je suis
au regret de te dire que cela fait plus de 50 ans que le pays est mal-gouverné.
– Ceux qui ont dirigé le pays, et tu les connais certainement, ont TOUS
échoués…. POURQUOI ? ….
parce que depuis un demi-siècle,
ils n’ont aucun véritable projet de société pour
-Quelles sont les
raisons ? -… c’est soit parce qu’ils avaient un semblant de
programme, qui dès le départ était voué à l’échec du fait même qu’il était peu
ambitieux, et que cela ne pouvait que développer un village de 10.000 habitants,
alors que Notre Chère et Tendre Centrafrique compte plus de 4 millions d’âmes. -
….. Une autre raison est que
pendant un demi-siècle, les
différents gouvernements qui se sont succédés, se sont contentés de tendre la
main, une fois, deux fois, trois fois et encore, encore et encore, années après
années et d’attendre que certains bailleurs étrangers veuillent bien débloquer
un peu d’argent….- cela s’appelle de
Les autres pays voisins ont compris qu’il fallait gérer et
exploiter intelligemment les ressources naturelles que la nature leurs a légué….
- Raison pour laquelle, ils ont établis des Projets de société cohérents,
dynamiques et ambitieux ; et tout naturellement ils évoluent, implantent
les fondations solides pour le bien de leurs populations, construisent des
écoles, des hôpitaux, développent leurs pays, produisent du café, du coton, de
la nourriture en abondance, produisent des diamants, de l’or, du fer, du sucre,
du pétrole, et ils les vendent à de meilleurs prix à l’export, après une
valorisation locale. – Le But de
Jeunesse Centrafricaine,
l’heure de
– Si tu te trompes et que tu fais le mauvais choix, alors je peux déjà te dire, dès aujourd’hui, qu’il sera inutile le dimanche d’aller à l’église et de pleurnicher dans les oreilles de DIEU avec une multitude de plaintes, d’inquiétudes, de supplications, de prières, de voundou, de tôtô, de passi, de démâhngô tèrê qui montent vers le Seigneur-Créateur : - Seigneur j’ai faim……- Seigneur j’ai soif…… - Seigneur j’ai pas d’argent pour faire face à mes obligations…..- Seigneur, je ne trouve pas de travail….. – Seigneur, mes enfants n’ont pas mangé aujourd’hui…..- Seigneur…..- Oh ! Seigneur nzara, …..- Oh Nzapa ti mbi, mouna mbi ngou ti gnôn….. – Oh Jésus, à moléngué a tê kobê lasso apè…. - Oh mon Dieu….- Oh Jésus-Christ, nguiza ti vôngo na yoro akè apè.…. Oh Seigneur, je suis dans la précarité…… Oh Seigneur la mendicité me guette…….- Oh ! Seigneur…….. Oh ! Jésus…… - Oh ! Mon Dieu. - Aïe Seigneur,….. Aïe Jésus,….. Aïe Baba Nzapa,….. Aïe Yahvé, ….. Aïe Adonaï, ….. Aïe Elohim, ….. Aïe Shaddaï,….. Aïe ! Aïe ! Aïe ! Yahvé bâ voundou, bâ mawa, bâ kobélà, Aïe passi, Oh Seigneur, Oh Jésus, Oh Sauveur, Oh mon Dieu, au secours ! Oh Babâ au secours ! Au secours Seigneur, nous n’avons que toi………. Babâ zo akè apè ! zia i tongasso apè…. Pardon ! Pardon ! Pardon ! ……
Dès aujourd’hui, je suis au regret de dire que le Seigneur ne viendra pas faire un coup d’Etat pour modifier ce que la majorité aura choisi et il ne permettra pas non plus que des assoiffés de pouvoir reviennent foutre le bordel comme ce fut le cas ces dernières décennies. – DONC, il faudra attendre 2021 pour que tu modifies ou corriges tes propres erreurs de 2016.
NOTA = Pour ceux
qui ne le savent pas, je vous rappelle que le 1er Démocrate, c’est
DIEU car il te laisse la liberté de choisir le chemin que tu veux suivre… et il
respectera ta décision, fût-elle fausse, jusqu’à ce que tu comprennes la leçon.
– Je vous rappelle que Moïse et les
enfants d’israel sont bien restés 40 années à errer dans le
désert.
A nos 2 Finalistes pour
cette élection présidentielle qui sont Mrs Doléguélé et Touadéra, je rappelle ce
petit principe et qui n’est pas le moindre : « GOUVERNER, C’EST
SERVIR ».
Lorsqu’on est Dirigeant, il faut comprendre que la principale mission est de servir le peuple et qu’on n’est pas Chef sans sujets ; - c’est grâce aux sujets qu’on est Chef.
Aider les centrafricains ce n’est pas les remplacer ou faire à leurs places.
Nous ne disons pas qu’il faut remplacer les centrafricains pour aider les centrafricains à aller de l’avant, mais c’est de taper sur les doigts de ceux qui ne font pas ce qu’ils doivent faire parce qu’aujourd’hui le monde est devenu compétitif ; - on n’évalue plus quelqu’un sur le poste qu’il occupe par complaisance mais sur le rendement qu’il produit au poste qu’il occupe. - Quand il n’est pas rentable, il faut l’enlever et mettre quelqu’un de plus compétent pour que les choses avancent…. Quelque soit le Président qui sera démocratiquement élu, il ne faudra pas qu’il hésite de virer ou licencier définitivement, les différents incompétents qu’il aura eu la maladresse de coopter. Des choix coupables ont également été fait par son ou ses prédécesseurs ; le Nouveau Président ne devra pas hésiter à trancher dans le vif.
D’une manière globale en Centrafrique, il faut arrêter de financer,
conserver ou soutenir des incompétents ; - les gens qui sont aux pouvoirs
et qui touchent de l’argent pour un travail défini et qui ne font pas le travail
qu’on attendrait d’eux au profit de toute la nation. - Il faut priver de
salaires et de financements les régimes qui ne travaillent pas pour le bien-être
de la population. - Les Bailleurs qui
continuent à donner de l’argent sont plus coupables que les régimes
incompétents. Celui qui continue à donner de l’argent de manière
irresponsable est coupable car c’est lui qui encourage la fainéantise, la
paresse, le mal et fait que ces hommes incompétents se complaisent dans ce
système chaotique et criminel. –
Dans
cette Centrafrique de
l’après Djotodia, de l’après Tiangaye, de l’après Séléka, de l’après
Transition,
comment arriver à amorcer le
déclenchement du processus de prise en main de notre avenir et assurer sa
pérennité ?
Le postulat d’Edgar Quinet selon lequel il « n’y a pas de
fondation sans violence » nous permet de mesurer l’ampleur de la
révolution mentale, culturelle et institutionnelle à opérer en Centrafrique pour
espérer nous en sortir un jour. Pour y
arriver, il va falloir faire violence à nos vieilles habitudes somnolentes.
– Jusque là nous avons vécu sous la pensée unique, sous des programmes
« passe-partout » sans réelles alternatives. Plus de 55 après,
le « passe-partout » n’a pas fonctionné et il a eut pour
conséquence notre engloutissement dans les méandres de la précarité, des
inégalités et de la pauvreté. – Il serait grand temps que
Stop aux programmes « passe-partout », car il nous incombe désormais de définir les conditions dans lesquelles le soutien de notre action est acceptable. Pour arriver à redresser la barre, il nous faut avoir une vision de longue période, une philosophie d’action, un plan et des instruments de mesure des résultats, en somme un véritable Businessplan National ambitieux et crédible. – C’est pour cela que j’exhorte encore et encore, chaque Citoyenne, et chaque Citoyen à examiner de prêt le Projet de société que propose chacun des 2 candidats finalistes.
Je
dis ici à qui veut l’entendre,
que les centrafricains doivent ouvrir les yeux sur les réalités du monde, et ils
verront que les puissances industrielles ont déjà fort à faire pour réduire la
pauvreté chez elles, et qu’en toute logique, elles ne peuvent situer au premier
rang de leurs préoccupations l’éradication de la misère dans une contrée
lointaine telle que
Quel serait le niveau de croissance nécessaire pour
renverser la courbe de la pauvreté qui gangrène notre pays, compte tenu des
contraintes inhérentes au contexte (réalités historiques, sociales,
économiques et culturelles). Citoyenne, Citoyen, Ohyé, Ohyé…..nous n’avons
pas d’excuses à nous résigner dans cette situation misérable car notre pays
regorge d’inestimables potentialités. Par ailleurs, nous disposons des atouts et
des capacités afin d’impulser une croissance à deux chiffres, durable et
équitablement répartie. – Quant je dis
équitablement, j’affirme naturellement que nos provinces aussi devront voir la
croissance et le progrès frapper à leurs portes.
Avec
le recul, nous pouvons dire, sans souffrir d’une quelconque contestation, que
depuis 1960 nous avons vu se succéder à la tête du pays des gouvernants cupides
qui ont été remplacés par des incapables, et/ou vis-versas.
Ces derniers étant majoritaire dans les sphères décisionnaires du pouvoir, ils
ont souvent freiné, handicapé et/ou gangrené les efforts fournis par certains
soucieux de l’avenir du pays ; Résultat :
le progrès et le recul de la pauvreté n’ont jamais été au
rendez-vous.
– Oui ! Cupides (car
préoccupés uniquement et/ou prioritairement par leurs intérêts
personnels)
et incapables d’avoir une vision claire et crédible sur l’avenir du pays, la
preuve : - B.Boganda, dit Père fondateur du pays, qui est décédé
tragiquement en 1959, - paix
à son âme -,
soit plus de 55 ans déjà, est encore cité comme un exemple alors qu’il a dirigé
le pays moins d’une année. – Autre
preuve,
les centrafricains regrettent l’absence du dictateur Bokassa qui a été déchu en
1979. – On semble avoir oublié les centaines de jeunes morts tragiquement et
pour beaucoup par étouffement suite à un entassement en surnombre dans les
prisons de Ngaragba et autres… - J’étais au Collège des Rapides dans le
7ème Arrondissement de Bangui à ce moment-là, donc je m’en souviens
très bien de ce qui s’est passé….. plusieurs collégiens, dont je connaissais
personnellement certains ne sont pas revenus après les émeutes… et
pour cause…..-...
– Si aujourd’hui, nous en sommes
réduit à citer en exemple le Sieur Bokassa Jean-Bedel, -…laissez
moi rire jaune…..,
cela sous-entend clairement que ceux qui ont gouverné entre-temps, depuis là
jusqu’à maintenant, n’ont concrètement rien apporté de crédible, de mémorable
dans l’esprit de la collectivité nationale…. Nous en sommes donc réduit à,
volontairement, devenir amnésique et regretter le Sieur Jean-Bedel Bokassa. –
Concrètement
cela veut dire que de DACKO à BOZIZÉ, la valeur ajoutée des différents
gouvernements respectifs équivaux à de la poussière ; c'est-à-dire :
Néant,
zéro pointé.
Depuis
les années 90, l’histoire du pays n’a été qu’une amère répétition de l’incurie
des hommes qui ont présidé à sa destinée. – Vous comprenez alors mieux pourquoi
nous sommes si durs, dans nos propos à l’égard de ceux qui nous ont gouverné
jusque là. - Etait-il utile d’avoir été dirigé par des « incapables cupides»
, qui n’ont presque rien fait pour le progrès réel du pays, d’avoir
connu et subi banyamoulégué, Séléka, Zakawa, antibalaka, mutinerie, rébellion et
j’en passe,
pour que nous prenions vraiment conscience de notre situation ? -
…peut-être…. ! - Mais une chose est sûre : - plus
de cela à l’avenir, car il nous faut relever la tête, développer la primauté de
l’intérêt général sur tout intérêt particulier
«
A
la lecture de cet état des lieux, on pourrait me reprocher de ne parler que de
manquements, de dérives, de malversations et de mal-gouvernance. - Il faut
savoir que le citoyen centrafricain, par expérience, a conscience des épreuves
qu’il endure ou de ce que la mal-gouvernance lui a rapporté et pourrait lui
réserver. - Mon but ici, est de participer à mettre un terme à l’acceptation de
ces épreuves et Citoyenne,
Citoyen, Ohyé, Ohyé, cela passe par le choix du BON CANDIDAT ce 14 Février
2016.
Mes
Chers Compatriotes, je vous exhorte à bien examiner en détails le projet de
société que chacun des 2 candidats finalistes nous proposent car c’est cela
leurs contrats, leurs visions….. !! et posons nous individuellement si cela
correspond à nos attentes ? …… - Dans cette Centrafrique de l’après
Djotodia, de l’après Tiangaye, de l’après Séléka, de l’après
Transition,
désormais
il nous faut trouver les voies et moyens et même dans un environnement et
conjoncture difficile…, - voies et moyens de développer l’espoir…, – l’espoir
pour soi…, l’espoir pour Notre Pays….- Nous tentons ainsi de mettre en forme le
sens de notre propre humanité et de la vraie place de
Citoyen,
Citoyenne, l’heure est venue de remettre chaque chose à sa place ou créer les
places qu’il faut pour que ces choses là puissent s’intégrer harmonieusement.
Cher Compatriote je sais que tu es est mûr et que tu as pleinement conscience
qu’il faut agir et impulser une dynamique ; - Prend le temps de lire,
d’écouter et d’examiner le programme des 2 finalistes ; cela devrait
pouvoir te donner des indices et t’indiquer le choix à retenir lors de ton Vote
ce 14 Février 2016.
Dans l’existence d’un Homme, rien n’est écrit d’avance, tout se
construit au jour le jour. - Le développement de
Ohyé, ohyé…. Citoyenne, Citoyen…. ! – Cher compatriote, tu as très peu de temps d’ici le 14 Février 2016 pour que, sans discrimination aveugle, tu fasses le Bon Choix que tu devras aller confirmer dans les Urnes. Ce qui est bien dans un scrutin à deux Tours, c’est que tu n’as plus 30 programmes à examiner, mais plus que deux : - celui de Mr DOLÉGUÉLÉ d’une part et celui de Mr TOUADÉRA d’autre part. POINT…. Pour cette fois-ci, les 28 autres ne comptent plus ; le Peuple Souverain a fait son choix.
Si tu te poses tout ou partie des questions suivantes, je vais t’aider, en quelques mots, à clarifier Ton Choix final :
-
« Que puis-je faire concrètement et
immédiatement pour faire avancer Mon Pays aujourd’hui ? – Eh bien, je te réponds : Examine
le projet de société de chacun des 2 candidats à la présidentielle et fais le
bon choix.
-
Quel acte puis-je poser, directement ou
indirectement, pour favoriser le bien-être des générations futures ? –
Eh bien, je te réponds: Examine le projet de société de chacun des 2
candidats à la présidentielle et fais le bon choix.
-
Veux-tu ou désires-tu que l’avenir dans un
« Mieux vivre ensemble en Centrafrique » fasse partie de tes priorités au
quotidien ? – Eh bien, je
te réponds: Examine le projet de société de chacun des 2 candidats à la
présidentielle et fais le bon choix.
Au 1er Tour de l’élection présidentielle, tu es allé voter pour ton oncle, pour ton cousin, pour ton beau frère, par copinage, par alliance, par égoïsme personnel, pour ton grand, pour un parti politique,… là maintenant au 2ème Tour du 14 Février 2016, il n’est plus question de cela – Les enjeux sont tellement énormes que toute erreur de ta part risque d’être catastrophique.
Au pays des démocrates expérimentés, il y a un dicton qui
dit : « Au 1er Tour on choisit et au
2ème on élimine ; et ensuite on surveille et veille à ce que les
promesses faites soient tenues …….». – Pour le cas de notre jeune
démocratie, Citoyen Citoyenne, Ohyé, Ohyé, comme je l’ai dit plus
haut : « Gouverner, c’est
servir et que le monde est devenu compétitif ; - on n’évalue plus quelqu’un sur le poste
qu’il occupe par complaisance mais sur le rendement qu’il produit au poste qu’il
occupe. - Quand il n’est pas rentable, dès la prochaine élection, il faut le virer, le
licencier et mettre quelqu’un de plus compétent pour que les choses avancent. –
Je rappelle ICI, que si la majorité des voix vont vers le mauvais prétendant à
la présidence de la république, nous n’aurons pas d’autre choix que d’attendre
2021…. – Cela risque d’être long, très
long… !.
Ohyé, Ohyé…. Citoyenne, Citoyen…. ! – Cher compatriote, au 1er Tour tu as peut-être fait le mauvais choix, c’est pas encore trop grave, ce fut une erreur de casting, …..Des 30 candidats au départ, il n’y en a plus que 02. - Souviens-toi qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire et qu’une action personnelle venant de toi est espérée et attendue : - ce qui te reste à faire MAINTENANT pour ce Vote ultime du 14 Février 2016, c’est de corriger ton Action et cette fois-ci en Votant pour le Bon Candidat qui a un véritable Projet de Société cohérent, dynamique et ambitieux. - Le Jour « J », FAIS LE BON CHOIX, car : « Aucune Nation ne naît grande, les Grandes Nations sont l’œuvre de leurs citoyens ». – …et cette œuvre commence, individuellement, par le CHOIX DU BON CANDIDAT.
Au Collectif FINI-Ndara-FINI-Kodé, nous avons toujours dit et affirmé Haut et Fort que : - « La construction de notre Pays est l’affaire de TOUS ». - Mais dans une Jeune démocratie, comme la notre, avec le retard de développement cumulé que notre pays a enregistré, je suis obligé de vous le rappeler encore et encore, que nous n’avons plus de temps à perdre ; - Le VOTE Individuel pour des raisons uniquement ethnique, tribaliste, parental, fanatique, régionaliste ou bassement égoïste sont à bannir. - Notre YES WE CAN Collectif exige cette détermination individuelle. – A l’instar du Burkina-Faso, nous pouvons aussi démontrer en Centrafrique, notre niveau de Maturité à l’exercice démocratique.
Christian
Dominique DARLAN - Janvier
2016.
Co-Fondateur
du Collectif
FINI-Ndara-FINI-Kodé
E-mail :
fini.ndara@gmail.com