MON SOUTIEN AU PRESIDENT GENERAL FRANCOIS BOZIZE

Par Dr Félix YANDIA

 

"En Centrafrique, la population souffre de la pauvreté et des violences répétées" (CARITAS.org). Et il convient de rajouter, que tout cela est le produit de manque de responsabilité de la classe politique toute entière de mon pays.

 

En effet, cette classe auto proclamée politique en Centrafrique n'œuvre pas dans l'intérêt et surtout pas pour le bien être de la majorité. Cette majorité constituée de villageois, de paysans, de provinciaux, abandonnés à eux même. Une classe politique essentiellement constituée de simples rapaces donc. Car :

 

- Comment comprendre que l'opposition politique dite démocratique et partie prenante dans la CEMI (commission électorale mixte INDEPENDANTE) mis en place dans les délais légaux, avait manœuvré, bloquant le bon fonctionnement de cette institution. Quelle est leur réelle contribution ?

 

-Sachant que Le Général Bozizé n'est ni de près ou de loin membre de la CEMI,

 

-Constatant que l'ensemble de la classe dite d'opposition, ne fait qu'accuser tout le temps le seul président de la République 5Eternel recommencement), sans proposition concrète

 

-Observant les copinage entre démocrates et rebelles (des tueurs donc!)  Et leurs ailes armées donc (L'épée de Damoclès sur la tête dégarnie du président de la République donc).  

 

-Quand ces mêmes rebelles confisquent les listes électorales et empêchent la libre circulation dans le pays, cette opposition dite démocratique ne dit mot.

 

Comment comprendre que l'opposition dite démocratique (que de nom ! Amen), négocie sans honte et sans déontologie démocratique, avec un Président démocratiquement élu et dont le mandat est prorogé (A vie?) grâce aux manquements de cette même opposition seulement dite démocratique.

 

Quand Martin Zilegue du MLPC est empêché de quitter le pays, cette même classe politique lève le bouclier. Martin ZILEGUE est-il le seul et le premier citoyen centrafricain à subir, à connaître ce sort ? Je me le demande, dans ce pays de potentiels dictateurs où les vrais problèmes ne ne sont ni abordés par les Prétendants, menteurs, ni par le pouvoir en place.

 

Et Voilà un qui se mêle les bistouris : le Dr LALA BEVARRAH : qu'il lit et comprend "Boganda  élu de dieu et des Centrafricains" avant de s'avancer sur un terrain glissant. Rendez-vous est pris avec ce dernier.

Lun 24 mai 2010, 18h 52min 30s