Le mal centrafricain N°4 : transfuge, complexe et l'art de retourner sa veste

"PLUS D'ACTIONS - MOINS DE VERBIAGES"
"Rejeter la cause des échecs sur les autres" (question à Simon Alaléngbi par Henri Grothe)
"A propos de la condamnation inique et scélérate de journalistes, et de la note de Simon Alaléngbi"
"A propos des registres d'action et règlement de compte" proposés par Simon Alaléngbi
"Unité basique du Forum, opinions et provocations"


"PLUS D'ACTIONS - MOINS DE VERBIAGES"

Bonsoir Henri,
Comme je te le disais l'autre jour , les infos sont toujours les bienvenues mais ça ne suffit plus à améliorer les conditions de vie du peuple centrafricain.
C'est le sens du document joint.

N.B.
Deux ministres respectivement du commerce et de la culture sont à Bordeaux pour participer à la foire internationale .Ils sont accompagnés d'un groupe de commerçants et des danseurs. Durée de la foire du 27 Mai au 05 Juin.
Le Mardi 30 est une journée centrafricaine.

 

Je ne cesserai jamais assez de te remercier Grothe pour le travail formidable en information que ton équipe nous livre quotidiennement. Mais les questions que nous nous posons à Bordeaux est la suivante: après avoir reçu toutes les informations , qu'est-ce qu'on en fait? et qu'est ce qu'on fait?
Nous sommes très déçus de la tournure que prennent les discussions sur le forum. D'ailleurs c'est volontairement que nous nous sommes abstenus de participer activement aux discussions . Les même réflexions reviennent régulièrement et surtout des mêmes compatriotes. Je citerai pêle-mêle quelques exemples:

-" il ne faut pas rester chacun dans son coin et garder ses idées pour soi;
- il faut échanger ses points de vue ;
- allons-nous nous arrêter et ne laisser l'effort qu'à certain?
- par le mutisme qui suit son court , on a l'impression que la gangrène tribaliste a gagné plus d'un;
- est-ce le laisser les autres faire et voir? etc". fin de citation.

Nous préférons nous contenter des documents du type " LE TIPOYE DORE" que de répondre aux conséquences du limogeage de Gbéti qui mobilisent inutilement les compatriotes. C'est tout simplement un adhérent qui ne respecte pas les statuts et se voit opposer des sanctions point.
Des analyses viennent de partout: les réflexions sur le budget 2000, sur l'environnement politique en Centrafrique, sur Patassé lui-même, sur le bilan des élections, ainsi de suite. Bien sûr que l'information et les analyses sont des outils importants qui doivent continuer mais ça ne suffit plus à améliorer les conditions de vie du peuple centrafricain. Aussi, prendre connaissance d'une information sans l'exploiter,c'est comme si l'information n'existe pas.
Beaucoup de compatriotes oeuvrent en silence. ils ont choisi d'autres registres d'actions. Et c'est mieux ainsi pour des raisons d'efficacité. L'action demeure la solution finale. Nous sommes à quatre ans des élections présidentielles. Ce n'est pas à deux ou trois mois des échéances qu'on fait semblant de se mettre au travail C'est maintenant et c'est l'orientation que nous avons choisi à Bordeaux.
Il y a plusieurs Organisations à Paris qui peuvent se mobiliser.(Je cite Paris parce que nos compatriote de la capitale pense que toute action doit partir de là-bas ). Prenons l'exemple du C.C.F qui est une structure qui connaît des difficultés comme dans la vie normale de toute organisation. Personne ne prend d'initiative mais tous sont prêts à s'accaparer des initiatives. On a vu certains compatriotes de Paris se précipiter pour critiquer le C.C.F lorsqu'il a voulu organiser la rencontre souhaitée par le premier ministre Doléguélé. Ce n'est pas normal. Nous devons saisir toutes les occasions pour engager le dialogue avec tous les acteurs de la vie publique en Centrafrique. Mais à Paris, le maître mot c'est le boycott. Alors qu'à Bordeaux, bien que cette rencontre soit encadrée par l'antenne M.L.P.C , nous avons répondu présent pour dénoncer la mauvaise politique du gouvernement et lui faire part de notre vision l'avenir de pays.
Après les législatives, lorsque l'affaire dite Koudoufara est née, l'opposition parlementaire et l'U.F.A.P. ont dit qu'on leur a volé la victoire. nos députés ont refusé de sièger et encore boycott. A Bordeaux nous avons saisi les leaders de l'opposition pour leur demander de convaincre les députés de retourner à l'assemblée nationale et que "l'affaire Koudoufara" n'enétait pas une. Goumba , Ngoupandé et consort se sont entêtés hypothéquant ainsi toutes chances d'influencer et de diriger certaines commissions que l'opposition pouvait obtenir et engager un travail de fond. Là encore beaucoup de nos compatriotes de Paris ont soutenu la ligne de durcissement et de boycott. Je me souviens encore de mes conversations téléphoniques avec Grothe sur la nécessité du retour des parlementaires dans l'hémicycle puisqu'une majorité aussi fragile (55 contre 54 ) aurait besoin de part et d'autre de négociation. Le résultat est sans appel puisque l'opposition est retournée par la petite porte à l'assemblée et ne peut compter que sur une quarantaine de parlementaire. quel gâchis!
Tout cela démontre qu'on n'improvise pas une action politique et qu'un travail sans relache doit être menée. Que ceux qui sont préssés d'aller à la soupe doivent quitter le bateau dès maintenant.
Il faut s'organiser autrement que du verbiage permanent de certains de nos compatriotes sur le forum.
Je disait qu'il existe plusieurs organisations à Paris. J'ai évoqué brièvement le C.C.F.
Mais il y a le M.U.R ( Mouvement pour l'Unité et le Renouveau) qui avait préparé et soutenu le retour en fanfare de J.P. Ngoupandé à Bangui.Que font les responsables de ce mouvement? Pour ceux qui ne le savent pas, l'essentiel de l'équipe du M.U.R était à Bordeaux .mais encore ses même compatroites de Paris pensant que Ngoupandé allait gagner les présidentielles se sont lancés dans une mauvaise manoeuvre et ont récupéré et réorganisé l'équipe de direction de cette organisation. Et depuis , c'est le silence radio. Ils avaient ignoré que dans une organisation politique, il faut d'abord être disponible, ensuite il faut apporter les moyens matériels et financiers et enfin se mettre au travail d'une manière continue. Quelles actions concrètes mènent-ils en ce moment? Les Peleket, Kpidou, Bissengue, Meckassoua, pour ne citer que ceux-là?
C'est le calme plat en France . aucune esquisse d'alternative , que des critiques et des analyses. Ces mêmes qui ne proposent rien n'attendent que les initiatives viennent d'ailleurs pour critiquer.

Quel est le plan d'action de la diaspora ?
Quel est le plan d'action de l'opposition?
Pour nous, c'est fini le temps des critiques sans actions.
Pour nous, c'est fini le temps des analyses sans propositions.
Nous nous inscrivons dans une autre perspective.

Ceux qui sont au pouvoir , même s'ils mènent une politique contraire à l'intérêt du peuple centrafricain, ils ont au moins un plan d'action qui sert leur cause.
Ne croyez-vous pas qu'un pouvir qui sort renforcé après deux mutineries sanglantes et qui continue a bénéficie de la faveur et de l'aide des institutions internationales mérite qu'on observe son action de tès près?

Date: Sun, 28 May 2000 23:04:23 +0200
Reply-To: kodro@egroups.fr
Subject: [kodro] PLUS D'ACTIONS - MOINS DE VERBIAGES
NB : Prise de position de Simon ALALENGBI, membre et conseiller du Bureau Gnou de M.U.R (texte en attaché diffusée sans titre et non signée)


"Rejeter la cause des échecs sur les autres " (question à Simon Alaléngbi par Henri Grothe)

Bonjour Simon,

C'est avec beaucoup de plaisir que je réceptionne ton appel. Le temps me manque actuellement pour te répondre à fond car tu soulèves plusieurs problèmes à la fois, sans te priver d'enfoncer des portes ouvertes et d'égratigner au passage quelques-uns... Mais j'ose espérer que nous n'y verrons là que le désespoir d'un compatriote qui se cherche, comme nous tous d'ailleurs...

Mais va t-on se chercher longtemps?
Devrions-nous toujours rejeter sur les autres nos occasions manquées pour ne pas dire échecs?
Comment enfin travailler ensemble pour que nous nous en sortions vraiment?
Quelles stratégies adoptées pour nous réaliser?
Et tas d'autres questions auxquelles nous devrions encore et toujours répondre par des "verbiages" avant de nous lancer franchement dans la bataille politique si nous n'y sommes pas bien sûr...!
Je compte te répondre en détails dans les heures qui suivent, sinon au plus tard demain...
Bonne journée à tous!

Henri GROTHE
Date: Mon, 29 May 2000 09:11:23 -0000

--- Dans kodro@e..., "S.ALALENGBI" <S.ALALENGBI@w...> a écrit

> Bonsoir Henri,
>Comme je te le disais l'autre jour , les infos sont toujours les bienvenues mais ça ne suffit plus à améliorer les conditions de vie du peuple centrafricain.

>C'est le sens du document joint.

N.B.
- Deux ministres respectivement du commerce et de la culture sont à Bordeaux pour participer à la foire internationale .Ils sont accompagnés d'un groupe de commerçants et des danseurs. Durée de la foire du 27 Mai au 05 Juin. Le Mardi 30 est une journée centrafricaine .
- Première réponse donnée suite à la note de Simon ALAMLEMBI "PLUS D'ACTIONS - MOINS DE VERBIAGES"

"A propos de la condamnation inique et scélérate de journalistes, et de la note de Simon Alaléngbi"

Intéressante, la réaction de Philippe Lavodrama mais communiquer une fois ce matin et 3 fois cet après-midi, ça participe de cette pollution que certains n'acceptent plus à juste titre.

Son intervention nous parvient en même temps qu'une autre de Bordeaux, non signée ! jointe au courrier l de Simon Alaléngbi. Elles méritent une réponse au fond. On y reviendra sûrement. Je me bornerai dans un premier temps à dire, tout au moins à Simon A., une La Palisse : comment peut-il vouloir débattre mais encore s'engager efficacement s'il refuse le débat d'où des idées peuvent émerger ?

Simon est certainement un homme pragmatique. Il veut du concret, tout, tout de suite, et s'aligner comme un seul homme, derrière un homme. C'est son droit...

Mais voilà le leader charismatique, qui détient la lumière, les remèdes miracles à tous les maux du pays n'existe pas. S'il existe ça n'est certainement pas dans ce forum que Simon le trouvera.

Le forum est intéressant en ce qu'il peut être le lieu d'échange, "d'écoute", de partage sincère pour le plus grand profit du plus grand nombre; chacun conservant son libre arbitre, sa totale liberté.

Bien évidemment il nous appartient à tous d'éviter des pièges et la manipulation. Mais est-ce faire le jeu (permettez-moi l'expression) du "gouillanfier" que de partir d'un exemple ou de saisir une occasion donnée pour engager un débat de fond dont un compatriote disait ici même qu'il l'attend depuis 20 ans ?

Il est vrai qu'il faut être "mazo" pour aborder cette question des munzu vucko ou des 0,7% de population qui oppriment les 99,7 autres depuis 40 ans alors même qu'on est de cette "classe" des bien-lotis.

Mais j'ai encore dans ma tête ce rêve de gamin de 11 ans qui, entendant les "vieux" s'exclamer à Bambari en 1960 au levée des premières couleurs (drapeau) centrafricaines : "ce pays changera pour le bien de tous lorsque nos enfants prendront la relève des Blancs !", continue de rêver debout.

Notre maître (instituteur) qui les avait entendu sûrement, nous fit le lendemain matin en classe, une belle leçon de courage, de travail et d'indépendance dont je conserve la mémoire.

Je veux croire que ce rêve habite tous les hommes et les Centrafricains en particulier, eux qui ont vraiment beaucoup souffert...

JB

Date: Mon, 29 May 2000 19:02:19
NB :réponse donnée suite à la note de Simon ALAMLEMBI "PLUS D'ACTIONS - MOINS DE VERBIAGES"


"A propos des registres d'action et règlement de compte " proposés par Alaléngbi Simon

NOUS! Nous pour qui ?

>Nous sommes très déçus de la tournure que prennent les discussions sur le forum. D'ailleurs c'est volontairement que nous >nous sommes abstenus de participer activement aux discussions.

C'est votre droit et il faut le respecter

>Beaucoup de compatriotes oeuvrent en silence. Ils ont choisi d'autres registres d'actions. Et c'est mieux ainsi pour des raisons d'efficacité.

L'action demeure la solution finale.
A mon avis, personne ne critique les actions des uns et des autres si ces actions contribuent au développement de la RCA.
Encore faudra t il voir des résultat global. L'action politique ne se mesure pas par le niveau d'aisance de quelques personnes aisées que nous retrouverons demain dans la rue marchant à pied alors que ces mêmes roulaient voitures administratives hier.

>Les même réflexions reviennent régulièrement et surtout des mêmes compatriotes. Je citerai pêle-mêle quelques exemples :

pourtant ces compatriotes en question (j'en fais parti) n'empêchent les autres d'intervenir voir même de proposer des idées et des actions concrètes.

>.... Les Peleket, Kpidou, Bissengue, Meckassoua, pour ne citer que ceux-là?

Désolé mais votre réaction en cache une autre qui sent des règlements de comptes autour de NGOUPANDE et du MUR dont vous étiez membre.

>C'est le calme plat en France . aucune esquisse d'alternative , que des critiques et des analyses. Ces mêmes qui ne proposent >rien n'attendent que les initiatives viennent d'ailleurs pour critiquer.

>Quel est le plan d'action de la diaspora ? Quel est le plan d'action de l'opposition?

>Pour nous, c'est fini le temps des critiques sans actions. .. c'est fini le temps des analyses sans propositions.

>Nous nous inscrivons dans une autre perspective.

...VOTRE PLAN DOIT DONC RESTER SECRET !!!

J'ai bien aimé le début mais il manque les propositions concrètes qui feront de Bordeaux un exemple différent de Paris.
Hélas pas de différence

Humble avis :
En fait, comme le disait Jean-Baptiste Placa dans une émission hier sur RFI, les africains tout comme leurs dirigeants n'acceptent que difficilement l'autocritique. L'exemple Gbeti est utilisé pour analyser la gangrène de notre société (NOUS TOUS). On peut prendre n'importe quel monsieur POLIQUE centrafricain pour illustrer le débat. Les paramètres changeront probablement peu.
Pour ce qui est de l'observation "Analyse sans Propositions", je vous garantie que même le novice de la philosophie vous dira que les bonnes leçons sont tirées des criques. Un exemple terre à terre -
Vous venez régulièrement chez moi et constatez que mon WC est délabré. La puanteur insupportable vous oblige à ne plus me rendre visite. Vos observations me parviennent par un canal ou un autre. Serais-je intelligent d'attendre de vous des propositions pour résoudre mon problème de puanteur?
Mon cher Compatriote, sommes-nous sûre que les analyses développés ici intéressent ceux à qui vous faites allusion et qui seront susceptibles d'attendre des propositions ?
C'est vrai que nous avons plusieurs compatriotes qui oeuvrent dans le silence mais nous autres << petits citoyens>> entendons voir des résultats. Je voudrais croire à des exemples de réussite lorsque mon cadet qui est directeur d'une école ou un ami qui est fonctionnaire de son état auront cesser d'écrire des lettres demandant de leur venir en aide par des mandat de 100 FF.

Jeran-Pierre

Date: Mon, 29 May 2000 23:43:59 +0200
NB : réponse donnée suite à la note de Simon ALAMLEMBI "PLUS D'ACTIONS - MOINS DE VERBIAGES"


"Unité basique du Forum, opinions et provocations"

<< A Ita du Forum

Je suis avec beaucoup d’intérêt tous les messages sur le forum. Tout en reconnaissant que je lis rarement les nouvelles des autres pays - C.I, Congo... suffisamment médiatisés - je préciserais que je m’attache beaucoup plus à ce qui se dit sur notre pays. Les différentes opinions qui s’expriment en ce moment sont toutes aussi justifiables les unes que les autres, dans la mesure où chacun vient avec l’idée qu’il se fait du forum (et le but qu’il poursuit). C’est pourquoi j’ai cru bon d’apporter mon point de vue.

D’abord en tant qu’organe d’information interactif, nous pouvons tous nous accorder sur l’utilité basique du forum. C’est pourquoi d’emblée, je ne suis pas d’accord avec le frère qui voudrait en faire (exclusivement ?) un porte-voix de l’opposition (politique ?). D’autant plus j’ai été très intéressé par les explications techniques qui nous ont été fournies sur la difficulté à joindre Bangui par téléphone ou fax - entre autres exemples -. N’importe quel compatriote, de quelque bord (politique ou autre) que ce soit peut à mon avis émettre ses idées, réagir si lui ou la confession à la quelle il appartient se sent concerné ou visé. La confrontation de nos diverses idées, outre qu’il maintiendrait le dialogue, nous permettra d’avancer.

Je pense que le forum de discussion va aussi être éclairé des analyses, des informations s’appuyant sur nos différentes spécialités. Dans le domaine qui est le mien, l’architecture, la théorie, le concept se couplent avec l’action, la pratique. A ce sujet, je rejoins le point de Simon Alalengbi. Toutefois, l’expérience que j’ai avec la revue ARCHITECA me permet de tirer quelques conclusions. D’abord, nous Centrafricains préférons encourager, soutenir des actions entreprises par des étrangers, jamais celles de nos nationaux. Avec quelques compatriotes seulement, nous avons réussi à créer et financer cette revue, qui en est à son n°2 et qui dorénavant sera trimestrielle. J’avais estimé que les problèmes d’art, d’architecture, d’urbanisme de nos pays ? Bangui ex-La Coquette, tout cela valait cette initiative. D’autant plus qu’à l’étranger nous sommes à même d’éclairer les nôtres au pays, de part ce que nous vivons et qui nous entoure. J’ai cru que chacun d’entre nous allait y apporter sa contribution. Or je constate que les compatriotes s’intéressent d’abord au " pourquoi du comment ", aux critiques... Rares, très rares sont ceux qui s’aperçoivent qu’un journal a un coût. J’ai des compatriotes qui ont accepté le principe de l’abonnement. Après cet accord verbal, bien que j’aie payé l’affranchissement de ma poche (de 6.50 F à 11 FF), je n’ai jamais reçu le moindre centime de leur part. Ceux-là se reconnaîtront. Mettre la main à la pâte te la poche semblent poser problème. Paradoxalement, c’est de la part des étrangers que j’ai reçu le gros de mes abonnements, des encouragements, voire des propositions d’association. Et en fonction de toutes ces nouvelles, je vais orienter les nouvelles parutions d’ARCHITECA.

Tout ça pour dire à Simon Alalengbi que nous pourrons discourir sur le forum ; quant à ce qui est d’agir, c’est une autre histoire.

Honoré BARAMANZOLI >>

art.archi-bara@infonie.fr


Actualité Centrafrique Dossier 2