Un malheur n'arrive jamais seul : la rage s'ajoute au lot de souffrances des centrafricains
Un malheur ne vient jamais seul : il n'est plus suffisant de parler des arriérés chroniques de salaires, de putsch (manqué) à répétitions avec les conséquences, de chasse à l'homme, d'exode des populations, des "années blanches", du sida, du paludisme, du méningite. Voilà qu'on parle maintenant d'une autre plaie qui s'abat sur la République Centrafricaine : la rage - une maladie terrible d'un autre temps - qui sévit parmi les populations impuissantes et non assistées.
Rage: deux morts et des bâtons pour éviter les morsures de chiens enragés
(AFP, Bangui, 4 octobre 2001) :