Rencontre-débat qu’ils organisent entre la diaspora
centrafricaine de la région parisienne et Joseph BENDOUNGA, Président du MDREC
Le Comité
de liaison en Europe du Mouvement Démocratique pour
Cette
rencontre aura lieu le :
Samedi 05
août 2006 de 14 h 00 à 18 h 00
au Centre
International de Séjour de Paris - CISP Maurice Ravel
6, Rue
Maurice Ravel - Paris 12ème
(Métro :
Bel-Air, Porte de Vincennes, Porte Dorée / Bus 29 : Jules Lemaître/Maurice
Ravel )
Comptant sur votre présence
effective à cette rencontre citoyenne, démocratique et patriotique,
Nous vous
prions de croire, en l’expression de nos sentiments dévoués.
Contacts/Informations :
Communiqué de presse
Paris, le 31 juillet 2006
« Rencontre de Joseph BENDOUNGA,
président du Mouvement Démocratique pour
En tournée politique en Europe,
Joseph BENDOUNGA, Président du MDREC, ancien maire de
Samedi 05 août 2006 de 14 h
00 à 18 h 00
au Centre International de
Séjour de Paris - CISP Maurice Ravel
6, Rue Maurice Ravel - Paris
12ème
(Métro : Bel-Air, Porte
de Vincennes, Porte Dorée / Bus 29 : Jules Lemaître/Maurice Ravel )
Cette rencontre qui se veut
citoyenne et démocratique s’inscrit dans la volonté du Comité de liaison du
MDREC en Europe en lien avec le Collectif des Centrafricains en France (CCF) de
donner l’occasion aux compatriotes de la région parisienne de s’entretenir
publiquement avec Joseph BENDOUNGA, l’un des dirigeants de l’opposition
démocratique centrafricaine, des questions importantes concernant la situation
socio-politique difficile qui prévaut en Centrafrique et les perspectives
qu’envisage le Parti MDREC pour sortir le pays de l’impasse.
En effet, nul n'ignore que
le Centrafrique connaît de graves crises sociales, économiques et politiques
avec en prime la velléité du régime en place de déclencher une nouvelle guerre
au Nord et au Nord-Est. Une guerre visiblement encouragée et soutenue par les
régimes dictatoriaux de la sous-région CEMAC et certains lobby français. Une
guerre dont les motifs invoqués sont peu convaincants et les enjeux loin de
répondre aux véritables et légitimes intérêts du Peuple Centrafricain. Au
contraire, tout porte à croire que le pouvoir de Bangui et ses soutiens locaux
et étrangers veulent donner une énième occasion aux marchands de mort d’écouler
leurs stocks d’armes en Centrafrique pour de nouvelles campagnes barbares de
tueries massives, de viols collectifs et de génocide.
En voulant, coûte que coûte,
se lancer dans cette grande guerre à nos frontières avec le Tchad et le Soudan,
le Général-Président BOZIZE voudrait sans doute élargir le champ de
l’insécurité et de l’anarchie qu’il a durablement installé au Nord-Ouest du
pays (après sa rébellion et le putsch du 15 mars 2003) à toute la zone
Nord-Ouest et Nord-Est connue pour être extrêmement riche en nappes pétrolières
et minerais stratégiques. Tout ceci dans le but certain de vider cette grande
région centrafricaine frontalière du Tchad et du Soudan de ses populations
civiles afin de faciliter le travail de pillage à grande échelle des énormes
ressources naturelles qui s’y trouvent.
Pour toute information
complémentaire, veuillez contacter :
Tél. : 06 88 64 40 61 - E.mail : collectif-des-centrafricains@wanadoo.fr