Décès tragique de monsieur MARCEL MONZALA survenu A BANGUI le vendredi 22 juillet 2016. Invitation pour un moment de prière et de recueillement à Orléans (F)

 

MARCEL MONZALA

LA FAMILLE MONZALA A ORLEANS,

TOUS SES AMIS ET CONNAISSANCES EN FRANCE

Ont la profonde douleur de faire part du décès tragique de monsieur

MARCEL MONZALA né le 21 Avril 1958 à Mbaïki (Centrafrique) connu sous le surnom de BONJINO survenu A BANGUI le vendredi 22 juillet 2016

Un moment de prière et de recueillement aura lieu ce samedi 30 juillet 2016 à la salle de la PAROISSE DE L’EGLISE SAINT YVES – 11, RUE MAURICE ASSELIN - 45100 ORLEANS LA SOURCE DE 19H A MINUIT.

Une messe en sa mémoire sera également célébrée le dimanche 31 juillet 2016 à 10h30 dans la même paroisse.

Pour tout contact : veuillez téléphoner à

MME MONZALA SOPHIE AU 09.54.43.53.55

EDOUARD AU 06.23.50.15.40- SIDONIE AU 06.52.11.83.33

 



 

 

JE SUIS MONZALA

 

MARCEL MONZALA    MARCEL MONZALA

ASSASSINÉ par la Justice centrafricaine ‘’à bout portant en direct’’ à la barre en pleine audience le vendredi 22 juillet 2016 rien qu’à cause des teks dont il était leader  exploitant face à des concurrents véreux et malhonnêtes qui ont noyé et corrompu jusqu’à la moelle cette belle et grande Dame Justice, pour le spolier, le détruire, le ruiner, l’écraser jusqu’à la mort (ils ont atteint leur objectif), pour que eux aussi exploitent le tek ce, en dépit des multiples procès qu’il a gagnés contre eux. Il n’y a qu’en Centrafrique que cela est possible où tout justiciable (plaignant ou mis en cause) devrait  plutôt attendre de la Justice : respect de la dignité et des droits humains, et protection à travers sa noble mission de traiter tout dossier judiciaire avec bonne conscience.

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A Monsieur le Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Flavien MBATA, de prendre enfin et très rapidement ses responsabilités, pour éviter à jamais de tel drame, en provoquant une réelle refonte de cette Justice, pour y remettre de l’ordre, en sanctionnant sévèrement ces pourris connus qui ont assez terni l’image de cette noble Institution, pour la crédibiliser au profit d’un nouvel ordre de « dire le vrai droit » dans les délais raisonnables que de reporter expressément plusieurs fois une affaire jusqu’à épuiser voire agoniser le plaignant au risque d’en crever comme le cas MONZALA. Ainsi, l’affaire pourrait être aisément classée et les corrupteurs mis en cause se frotter les mains. La nouvelle gouvernance et bonne tant attendue, sous l’impulsion du Président Faustin Archange TOUADERA a grandement besoin de ce socle de la démocratie, des droits de l’homme et de la confiance des bailleurs investisseurs surtout pour le développement, pour conforter la rupture prônée. A moins qu’elle ne soit que vu de l’esprit. Si tel est le cas, le peuple en prendra acte et provoquera sa révolution au nom de BOGANDA, pour réveiller la conscience collective à se créer d’autres conditions d’une vraie justice égale pour tous. Si le Ministre ne fait rien, alors il y aura encore des morts, il y aura encore des MONZALA.

 

La mort de MONZALA Marcel ne doit pas rester impunie, car il est victime au grand jour des dysfonctionnements, des magouilles, de la cupidité, de l’ingratitude, de l’inhumanité, qui caractérisent la puissante machine judiciaire centrafricaine acquise seulement aux nantis bourgeois corrupteurs (libanais et des centrafricains), qui sont prêts à tout, pour noyer des vulnérables justiciables dont MONZALA Marcel ce, en dépit des acquis de ces derniers suite aux procès gagnés. Beaucoup sont déjà morts comme lui par la faute de cette justice (lenteur et dysfonctionnements) sans scrupules.

 

MONZALA Marcel n’est que la partie visible de cet iceberg Justice bien rodée dans cette pratique machiavélique de ne jamais amener un justiciable plaignant à jouir de ces dommages et intérêts conquis suite aux procès gagnés. La corruption aidant, tout est mis en œuvre, pour écraser les nombreux justiciables tant centrafricains qu’étrangers, qui n’ont ni le courage ni la compréhension de braver cette Justice en persistant à défendre leurs droits comme MONZALA qui, abusé et déçu, avait même créé une association d’information et de défense des droits des justiciables, pour assister d’autres justiciables qui subissent les mêmes injustices.

 

Merci de bien vouloir partager ce message et que chaque citoyen(ne) prenne conscience que « ça n’arrive pas qu’aux autres » et de se mobiliser pour refuser catégoriquement cet état de chose en Centrafrique. Nous multiplierons et distribuerons tous les résultats de ses nombreux procès gagnés et jamais profités jusqu’à ce qu’il en crève à l’audience. Et le jour de ses funérailles, nous irons avec sa dépouille au Palais de la Justice, pour une procession en partance de là avant le transfert au lieu d’inhumation. Magistrats, Avocats et Huissiers ne devront surtout pas s’y mêler.

 

Pour MONZALA et bien d’autres qui ont souffert et souffrent sur leurs droits jusqu’à en mourrir à cause de cette justice de corrompus, le peuple, même si vulnérable, veille et le JUGEMENT DE DIEU qui surpasse toute ignominie humaine tranchera tôt ou tard.

 

 

Bangui, le 24 juillet 2016

 

L’association d’information et défense des justiciables créée par Marcel MONZALA

Paix à son âme