CONFERENCE – DEBAT

PROCESSUS DE TRANSITION  EN CENTRAFRIQUE :

 EXIGENCES  POUR UNE RESOLUTION DEFINITIVE  DU CHAOS ET REPRESENTATIVITE DES CENTRAFRICAINS EN FRANCE.

AVEC LA PARTICIPATION DE FRANCOIS PASSEMA PRESIDENT DU CACDCA.

SAMEDI 08 NOVEMBRE 2014 A NANTES

14H00 à 19H00 SALLE MANUFACTURE DES TABACS

10BIS, BD DE STALINGRAD 44300 NANTES

TRAM STATION MANUFACTURE DES TABACS

Le drame qui se noue en Centrafrique est délibérément occulté par les médias internationaux. Les Centrafricains trouvent que la communauté internationale ne fait pas vraiment ce qu’il faut pour les protéger des hordes de barbares qui les massacrent.

Depuis le 15 septembre 2014,  les troupes militaires africaines de la MISCA et les forces françaises de l’opération Sangaris en Centrafrique sont passées sous mandat des Nations unies, la MINUSCA qui devait exécuter  son mandat au moyen de ses composantes militaires et de police :

-         Protection des civils ;

-         Appui à la mise en œuvre de la transition, y compris action en faveur de l’extension de l’autorité de l’Etat et du maintien de l’intégrité territoriale ;

-         Faciliter l’acheminement immédiat, en toute sécurité et sans entrave, de toute l’aide humanitaire ;

-         Protection du Personnel et des biens des Nations Unies ;

-         Promotion et protection des droits de l’homme ;

-         Action en faveur de la Justice nationale et internationale et de l’Etat de droit ;

-         Désarmement, démobilisation, réintégration et rapatriement….

Les assassins et criminels qui occupent injustement et impunément le territoire centrafricain continuent de sévir ; au lieu de les contraindre au respect des règles du droit international, les forces internationales sous couvert des Nations Unies ne procèdent pas à leur désarmement forcé. Ces tergiversations  sont – elles de nature à rassurer les Centrafricains qui exigent que justice leur soit rendue par la communauté internationale ?

Les Centrafricains doivent prendre leur destin en main et exiger de leurs amis, à travers le monde, la solidarité qui leur permettra d’éradiquer le chaos qui leur est injustement imposé avec la complicité de certains des leurs depuis plusieurs décennies.

Au moment du règlement de ce chaos, les Centrafricains établis en France en particulier et en Europe en général doivent être représentés de manière parfaitement démocratique. Leurs exigences seront à retenir parmi les solutions à envisager pour mettre définitivement la Centrafrique à l’abri du chaos…

 

Contacts : Banouképa Guy +(33)6 65 29 56 91- Mackenzie Régis Christian +(33)6 23 06 57 91- Mbomi Landry +(33)7 62 68 19 72 - Foula John +(33)6 30 45 39 24 - Passéma François +(33)6 85 65 61 19