JOURNÉE DE SOLIDARITÉ
AVEC LE PEUPLE CENTRAFRICAIN

SAMEDI 21 DÉCEMBRE 2013 DE 10H00 A 20H00

SALLE RENÉ-ROUSSEAU - 48, RUE JULES FERRY

94500 CHAMPIGNY – SUR – MARNE

SORTIR LE PEUPLE CENTRAFRICAIN DU CHAOS

 

La CENTRAFRIQUE est plongée dans un chaos total.

La communauté internationale doit agir de toute urgence afin de faire respecter l’ordre public en CENTRAFRIQUE, un pays, de cinq (5) millions d’habitants, dont la superficie (622 000 km2) est supérieure à celle de la France.

L’ampleur des violations des droits humains perpétrées à travers le pays par les groupes armés qui sèment la mort et la désolation depuis mars 2013 est sans précédent. Plus de trois mille (3000) morts à ce jour. Les Centrafricains, persécutés par ces assassins et criminels, essentiellement d’origine soudanaise et tchadienne,  vivent terrés en brousse, comme des animaux, sans aucune assistance.

Ces forces  s’en prennent aux civils à travers le pays, procèdent à des exécutions sommaires, torturent, bombardent sans discrimination des zones habitées, violent des femmes et enrôlent des enfants de force.

 Le désespoir du peuple centrafricain est plus profond que jamais du fait de ces atteintes persistantes et de grande ampleur aux droits humains, qui sont des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité.

Plus de 3500 enfants soldats sont enrôlés par ses bandes armées dites Séléka ; certains ont été recrutés au Soudan et au Tchad voisins. Il est extrêmement révoltant que nombre de ces mineurs soient utilisés comme monnaie d’échange par des commandants étrangers qui attendent d’être payés par le gouvernement centrafricain pour leur rôle dans le chaos imposé au peuple centrafricain.

La communauté internationale doit déployer douze mille  12500 soldats pour protéger la population centrafricaine.

 Les Nations unies doivent intervenir, sans attendre, pour prendre les rênes des opérations de maintien de la paix en Centrafrique, soutenir et former les soldats chargés du maintien de la paix afin qu’ils soient en mesure de faire respecter l'ordre, et de déployer des observateurs des droits humains dans tout le pays.