L’Impasse
Politique en République Centrafricaine dans la contradiction Institutionnelle
et, de la démocratie.
Poser
des actes en respectant les fondamentaux
institutionnels.
Ps)
Juste des petits rappels … !
Qu’est-ce
que la démocratie tant prôner de part et d’autre en République
Centrafricaine ?
La
démocratie par définition, est l’instauration d’un système politique dans lequel
la souveraineté est attribuée aux citoyens de manière directe par la voie
élective par les urnes et, son exerce de façon indirecte dans sa représentation
par les élus des peuples en adoptant des lois et décisions importantes et
choisissent pour l’intérêt générale…généralement.
La démocratie se
reconnaît à cette possibilité offerte aux citoyens de créer par leur vote une
majorité politique.
Quels
sont les avantages de la démocratie ?
L'égalité
des droits entre les citoyens
La
démocratie doit donc protéger les citoyens contre l'arbitraire ou l'abus du
pouvoir. Cela repose en premier lieu sur une égalité des droits entre les
citoyens. Toute démocratie implique en effet un système politique où tous les
citoyens sont soumis aux mêmes lois.
Comment
s'exprime la démocratie ?
Dans
ce type de régime, la volonté des citoyens s'exprime à travers des représentants
qui établissent les lois (pouvoir législatif) et les font appliquer (pouvoir
exécutif). Dans les démocraties représentatives contemporaines, ces
représentants sont élus.
Quels
droits et valeurs que défend une démocratie ?
Défendre
la démocratie et les valeurs fondamentales d'égalité et de
justice sociale
·
La démocratie,
·
L’émancipation,
·
La
solidarité au sein de notre société et à l'international,
·
La
lutte contre les inégalités, contre toutes les formes de discriminations, et
donc le refus de toutes dérives hors cadre institutionnel,
despotisme…notoire.
Pourquoi
le peuple est souverain ?
La
souveraineté populaire repose sur le Peuple, c'est-à-dire l'ensemble des
citoyens d'un pays. La souveraineté populaire implique le suffrage universel,
puisque chaque individu détient une part de souveraineté. Ps) Elle ne doive pas être un objet de manipulation des uns et des
autres.
La
souveraineté se résume sur trois sens :
Équilibre
entre souveraineté, supranationalité et coopération
intergouvernementale.
Quelles
sont les limites de la souveraineté de l'État ?
La
souveraineté de l'État est limitée sur plusieurs aspects : L'ordre juridique international : Les engagements
internationaux entravent l'autonomie des États. Ps) Pourtant prendre des
engagements internationaux fait partie de la souveraineté, car les obligations
prises mondialement découlent de son exercice.
Pour
finir, les règles de la démocratie dans les pratiques :
Election
des représentants ; coexistence de plusieurs partis politiques
; égalité des droits ; respect des libertés (d'expression,
d'association, etc. ).
Malheureusement…nous
assistants a des diverses et variés …pour ne pas dire la cacophonie démocratique
dans son application, une mauvaise interprétation des institutions et l’exercice
en République Centrafrique, accrois les enjeux pour seul intérêt
partisans.
Les
symptômes de la crise du débat démocratique dans notre RCA depuis longtemps,
sont hallucinants, ainsi que les manques des respects des paroles données…voir
Juré sur la Constitution de notre Pays.
On
assiste au triomphaliste des visions que l’on peut qualifier de
“conspirationnisme violentes” et de “populisme violent”. Prôner par les
inconditionnels politiques quelques soient les camps (Majorité, ou Opposition, s’ajoute les
Factions Armées non-conventionnelles…Mercenaires) Une enfumage
intellectuelle pour les non avertis par des manœuvres politiciennes, ce qui
n’aideront pas notre Pays de sortir de l’abîme. Ce qui se passe depuis très
longtemps en République Centrafricaine sur le plan Politique que N fois j’essaye
de démontrer dans plusieurs de mes publications, en interpellant beaucoup de nos
hommes politiques entre guillemet, souvent en rappelant…qu’Il ne faut jamais y’avoir de la
complaisance politique, ni de la
connivence politique au détriment de l’intérêt générale. Beaucoup en paye le
prix aujourd’hui et semble désenchantés !
L’envahissement
de la seine politique Nation par des factions armées non conventionnelles, des
milices de tout genre… prête a tout jamais les dérives diverses et variées,
pleinement dans les actualité du moment…relève d’irresponsabilités politiques,
du non-vision a court, moyen, long terme, de l’intégrités…, sont antipatriotique
pour tout dire ce qui est le contraire de la recherche de la Paix en République
Centrafricaine. Nb) Sans être de mauvaise foie ! Montre
à l’évidence que les conditions d’un débat démocratique serein et apaisé sont de
moins en moins réunies dans la République Centrafricaine qui se cherche
malheureusement. Cela ne concerne pas que la politique au sens strict. On le
voit aussi sur de très nombreux autres sujets pour la Cohésion Sociale et
Nationale.
On
commence à bien connaître maintenant les différents symptômes de cette crise du
débat démocratique, ne serais-que ça !
On
prend de moins en moins en compte les arguments avancés par les deux partie
adverse (Majorité et Opposition…dite
Démocratique) en considérant pour les uns et les autres, que celle-ci ne
fait que représenter leurs intérêts, que ce soit de façon intentionnelle
(celle-ci est alors accusée d’être simplement être appartenir à un Clan
(Association des amis, ou ethnique… des assoiffés du pouvoir.. au service de
leur propre intérêt) ou même de façon non intentionnelle (elle est accusée
d’être un “idiot utile pour le Pana-Africaniste, des Occidents ou des
Etats-Unis” pour des services non-avoués).
On
cherche à discréditer d’une manière ou d’une autre cette partie adverse (Majorité et Opposition…dite
Démocratique) en caricaturant son point de vue, en mettant en exergue des
propos, des faits ou des attitudes extrêmes et donc condamnables, en l’affublant
d’un terme jugé disqualifiant ou repoussoir (décroissant, suppo-néocolonialiste,
démagogue, populiste, ultra, système, despotisme...etc.). Dans un tel contexte,
les points de vue modérés et nuancés sont soit ignorés, soit
caricaturés.
On
a même souvent le réflexe de part et d’autre, de vouloir exclure du débat la
partie adverse en dénonçant ses conflits d’intérêts ou bien son incompétence
(exclusion des “non-sachant”). Cela conduit de plus en plus à une
extra-judiciarisassions, des défiances n’en parlant pas, des intimidations…de
surcroits exclusion des débats qui ne se font plus de manière inclusive dans des
arènes politiques et publiques, dans la recherche consensuelle est nécessaire
et, Afin de trouver les meilleurs voies pour la Nation Centrafricaine pour la
Paix ou l’exemple du Dialogue dite inclusif au Khartoum (Soudan), qui n’était
pas un ! Dont-on voit les limites aujourd’hui.
Plus
généralement, on tend à raisonner par amalgame en faisant de certaines dérives
d’individus ou d’organisations un comportement général et même une attitude de
nature systémique.
Enfin,
on est le plus souvent dans une logique extrêmement manichéenne. On est soit
totalement pour, soit totalement contre. Si l’on est avec une partie dans un
débat, on ne peut jamais considérer qu’un argument de la partie adverse soit
recevable. On est dans une logique dichotomique du tout ou rien. On est d’accord
avec tout ce que pensent et disent nos alliés et on est forcément en désaccord
avec tout ce que pensent et disent nos adversaires.
Tout
ceci aboutit à une grande déshumanisation, division de notre Nation. On ne voit
plus un individu fait de chair et d’os s’exprimer avec ses émotions, ses
convictions, ses contradictions, mais le simple rouage ou instrument d’un
système qui défend coûte que coûte ses intérêts. Cela tend à favoriser la
violence des critiques, notamment sur les réseaux-sociaux, et même quelquefois
le passage à l’acte violent contre des individus ainsi
“anonymisés”.
Quelle
que soit la voie empruntée, le processus de démocratisation a permis dans tous
les pays l’instauration du multipartisme, du pluralisme politique, économique et
syndical, l’organisation d’élections disputées, grâce à la rédaction de la
constitution en 2016, la République Centrafricaine s’étais remise dans l’ordre
constitutionnel…normale grâce à un régime de transition. Malgré les mauvaises langues, que cette adoption s’avère arranger presque
tout le monde qui devait donner un nouveau souffre dans les concerts de la
Nation de notre Pays, avait jeté une base pour mieux consolidés l’avenir
institutionnelle en République Centrafricaine (En mettant en place l’autre
institution qui est le « sénat », Tout d’abord les élections Local qui
étais une préalable pour le SENA …ne serait-ce-que ! Bref, l’organisation de la vie
démocratique.
Aujourd’hui !
Notre République Centrafricaine a pris une grande place dans le monde
d’irrationalité, il faut qu’on en sorte ! Un appel pour tous les
compatriotes quelque-soit les places occupés dans notre Nation doivent se
ressaisir pour la sauvegarde de notre Nation.
Les
actions maladroitement posées …finis par avoir une conséquence néfaste pour
la République!
Fait
à Lyon le 06 Juin 2023
Diaspora,
Monsieur Aubin-Roger KOMOTO