La Constitution de 
la République serait-elle Décriée et non Respectée ?
Notre République 
travers une période institutionnelle d’exception sur les plans des différends 
délais dans ces installations et transcription. À savoir les respectes, les 
règles applicables à la matière des textes et, articles des lois édictées par la 
constitution, 
Résolument, les 
mêmes problèmes dans ces pratiques hasardeuses, compromettant pour l’avenir 
institutionnel persistant et qui gangrènent la République et ces institutions. 
Auxquels, on peut faire l’économie d’une nouvelle crise ou tension au sommet de 
l’Etat et, par ailleurs au sein de la classe politique Centrafricaine. Quelques 
que soient les positions des acteurs politiques en exercices de plein droit et 
pouvoir, ou en position d’opposant politique de l’heure. 
Les efforts 
objectifs de lucidités et, des vigilances sur les aspects et les respects des 
institutions sont souvent alerté au sein des rares représentants de la société 
civil neutre au pouvoir, autres observateurs objectifs de la vie politique 
Centrafricaine, malgré les alertes sur les dérapages et les manquements de 
délais régissantes notre constitution ne sont jamais écouté 
malheureusement.    
De fait, les 
multitudes problèmes « Les Rebellions, des Factions armées 
non-conventionnelles-mercenariats, des Brigands, des bandits de grand chemin…les 
terrorismes notoires, a cela se mêlent la mauvaise Gouvernance, despotisme…la 
corruption à tous les niveaux » qui gangrènes les institutions de 
la Républicaine ne suffissent pas, qu’il ne faut énumérer ici ! Pourtant la 
République a besoin d’une politique d’exception, d’Etat d’exception et non 
anarchique. On a récemment assisté à la réapparition dans le champ des processus 
démocratiques embryonnaires de notre Pays, les décriénements des institutions 
sans discernement de certaines franges des hommes politiques, autres 
représentants des dites des ces  institutions, très souvent ces derniers 
arriver sur la scène politique Centrafricaine, soient par opportunistes et qui 
se qualifient à juste titre homme politique et,  nous constatons les inefficiences des 
actes posées, sur les plans des respects des institutions et juridiquement 
parlant. Ont confirmés la théorie de l’anarchie constitutionnelle apparente. Ce 
paradigme est particulièrement inadéquat pour n’expliciter des mesures a 
adoptées par les démocraties contemporaines dans le cadre de la lutte contre 
tous les mots qui gangrènes notre cher patri. 
Mes réflexions se 
proposent d’envisager un certain nombre de cas de consciences politiques, de 
présupposés de ce paradigme en particulier la référence à la dictature dans tous 
les sens du terme ou de l’anarchie institutionnelle de l’inconstitutionnelle, 
dans son non-respect des différents délais établies, impartis  et les démarches critériologiques visant 
à différencier à maints égards trompeuses, fort éloignée des figures modernes de 
l’Etat d’Exception qui est le nôtre dans cette cacophonie entre-mêlé des crises 
traversantes dû à toutes ces  
« Rebellions ou les Factions Armées non-conventionnelles et 
les mercenaires, des Bandits de grand chemin, les terrorismes, la mauvaise 
Gouvernance, despotisme, la corruption et j’en passe…etc. ». 
Supposant qu’on 
puisse élaborer à un renouvellement de la classe politique, à partir d’une 
nouvelle génération des hommes politiques ou une mixitée des anciens et 
nouvelles hommes politiques consciencieux sur les enjeux que traverse notre 
Pays, capable de faire la part des choses, êtres intègres, patriotes, mais de 
surcroît ayant une bonne expérience des institutions, et aussi surtout de les 
respectées, en plus des compétences, à partir de la considération d’un type 
idéalisé politiquement qu’aussi humaine. 
Un paradigme 
cohésif, cohérent de l’Etat d’exception moderne, qu’il faut intégrer. Un tel 
paradigme pour expliquer les évolutions politiques et constitutionnelles…, 
boiteuses soient-elles récemment en République Centrafricaine.  Nb) Il n’est jamais trop tard pour faire 
bien les choses désormais et de se raviser sans exception, envisager de tous et 
toutes (fils et filles) de la Centrafrique confondu 
religieusement, ethniquement. 
Mes observations, 
se proposent une critique raisonnée du paradigme de la dictature 
constitutionnelle ou une anarchie constitutionnelle pour mieux dire, qui après 
presque plusieurs décennies de tergiversation politique, de la mauvaise 
Gouvernance dans notre Pays, a refait surface avant et après …depuis le Brexite 
en 1979 de l’empire de Mr.  Jean-Bedel BOKASSA pour ne pas emprunter 
ce mot chez nos amis les anglais…etc. de la dictature de feu Mr. L’Empereur de 
la Centrafrique déchu, un événement qu’occasionnait la réinstallation du feu Mr. 
David Dacko pour une deuxième présidence de la République « un 
destin exceptionnel » à travers les opérations BarakOuda et, quelques 
années plus tard Brexiter, par un coup d’état camouflé par le Comité Nationale 
de Redressement « CNR ». Ps) Il ne s’agit pas ici de refaire 
l’histoire de la Centrafrique depuis cette période qui avait fait temps de 
souffrance énormément aux Centrafricains pendant encore dix bonnes années des 
mots tels que le « Tribalisme…, des Divisions éhontées orchestrés au 
sein de la  population qui vivait en 
harmonie sans défiance, de fait, les apologies de supériorités de l’ethnie 
au pouvoir de l’époque», laissaient des stigmates au sein de la 
population ou les réalismes politiques raisonnés avaient pris le dessus 
heureusement et, ainsi des pressions internes qu’externes avaient poussées à la 
voie de multipartismes. Une élection démocratique …  « Un 
Président avait été élu en 1993 démocratiquement ». Puis…jusqu’à ce 
moment une réapparition du « démon de coup d’Etat » qui n’étais pas si 
lointain a fait son apparition le Chef : « des libérateurs» nous 
savons sur ce qui suivait…, « la mauvaise Gouvernance, despotisme, la 
corruption », les institutions encore décriées, malmenées et 
favorisaient plus des frustrations des parts et d’autres, puis déclenchaient 
à nouveau les « Rébellions ou resurgissaient des Factions Armées 
non-conventionnelles « SELEKA », en prime les  mercenaires s’y prêtaient aux jeux dans 
notre République », Puis la plupart de Libérateur se sont 
érigés comme des Brigands et des Bandits de grand chemin, par ailleurs le 
pouvoir en place s’érigeait aussi, pratique le terrorisme institutionnelle 
en s’installant dans les institutions Centrafricaines. Le mot mérite a quasiment 
disparu dans les promotions sociales, aux vues des fils et filles de 
Centrafrique. Ce qui déterminait, l’appétence et détermination d’où, l’avènement 
dite SELEKA avec ces lots de forfaits, endeuillant le peuple 
Centrafricain à nouveau sous prétexte, que nous savons tous et toutes les 
tragédies inqualifiables.  
En témoignant la 
réimpression du déjà vue, je fais appelle à des consciences de tous(es) les 
hommes politiques, de bien veiller à notre constitution si fragile et de 
s’installer dans ce paradigme objectif, on aurait certes tort de penser que tous 
ceux qui ont une théorie, opinion divergente et néanmoins son contreproductive 
pour tous(tes) hommes politiques Centrafricains(es) oppositions confondues. 
Ce paradigme de la 
dictature institutionnelle ou l’anarchie institutionnelle qui correspond à 
quelques principes non discutés entre soi, ou inavoués, peut-être en raison du 
relatif oubli dans lequel ils ou elles sont tous(ttes) tombés(es), n’a pas 
vraiment fait l’objet de remises en question au sein de la classe politique 
Centrafricaine et une certaine société civile et association pour l’heure. Sur 
un plan juridique contemporaine, par exemple à la matière de la diplomatie 
politiquement correcte et autres aspects politiques qui devrait d’être 
raisonnablement intégré selon les risques et les enjeux afin de mieux relever 
les défis avenir. 
Il est cependant 
possible, toutes raisons gardées de trouver selon les défis à relever plus 
récemment une remise en cause au moins indirectement, soit que l’on conteste la 
référence à la dictature institutionnelle ou l’anarchie institutionnelle. 
N’épuiseront pas les modalités d’extensions exceptionnelles des pouvoirs de 
l’exécutif, soit enfin que l’on constate les déversements des crises encore 
post-électorale, dans les respects des délais impartis sur le plan 
institutionnel. 
Un président réélu 
et, il est installé malgré tout, pour un nouveau mandat, les législateurs se 
sont installés avec toutes les composantes, aussi bien que mal de la 
représentation de la nation et du bon fonctionnement de l’Etat.  
Le chef de 
l’exécutif devrait présenter sa démissionne. En entrainant son équipe, qui t’au 
président de la République chef d’Etat réélu de décider, à la reconduction de 
son premier ministre ou pas. En toute transparence ! En espérant une nouvelle 
équipe Gouvernementale. La préservation de notre jeune démocratie, ainsi que les 
institutions au passage, respecter. Notre constitution dans toute sa dimension à 
travers les textes qui régissent avec une bonne approche dans les installations 
des acteurs sur la tête des institutions de la République.  Que soit enfin que l’on constate que les 
évolutions récentes en la matière tendent à faire de la constitution de ses 
avatars un outil soit trop précis ou imprécis, soit dangereusement 
constitutionnelle ou inconstitutionnelle pour l’avenir de la démocratie en 
Centrafrique. Qu’il est temps d’éviter en jetant un doute sur la valeur 
heuristique du concept de pleins pouvoirs et des respects de la constitution, 
que je qualifierai de la dictature constitutionnelle ou l’anarchie 
constitutionnelle constituerait un précédant en République Centrafricaine le 
plus caractéristique et caractériser.   Ps) À bon entendeur patriotiquement 
votre… Que Dieu bénisse notre Pays. 
Diaspora, Mr. 
KOMOTO Aubin-Roger                                                         
Fait, à Lyon 18/05/2021 
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La Constitution de la République serait-elle Décriée et non Respectée ? Mr. KOMOTO Aubin-Roger