La problématique de la gouvernance en République Centrafricaine 
!?
Innovée la gouvernance en Centrafrique, suppose une nouvelle 
orientation politique qui sera salutaire pour le peuple Centrafricain, qui a 
tant souffert.
Aucune semaine se passe sans qu’on remette en question la direction 
de la gouvernance qu’emprunte le pouvoir exécutif, quant aux législateurs, 
brillent d’une absence chronique, dans son exercice de contre-pouvoir réellement 
garant de l’intérêt générale. S’étalent sur des problèmes personnels, des 
personnes. Pourtant tributaire dans ces prérogatives par des choix de peuple 
Centrafricain via des urnes pour l’intérêt général de fait. Ces derniers 
excellent dans l’art de la cacophonie, des politiques politiciennes au sommet de 
l’État, à la place d’une action réellement concrète. Ce qui compromette la 
pertinence des instances institutionnelles. Quant aux premiers détenteurs du 
pouvoir régalien, gouverne à tout va dans toutes les directions, sans aucune 
orientation programmatique pertinente, afin de sortir notre pays sous l’emprise 
des bandes armées sans foi ni loi. À cela se rajoute le vent de la corruption 
dans toutes les instances Étatique. 
Que ce soit dans les secteurs publics déjà en déliquescence, n’en 
parlant pas du secteur privé qui se peine à se positionner dans la cohérence 
économique créatrice de l’emploie pour la jeunesse Centrafricaine. Des 
initiatives s’efforcent d’immerger dans tous ces désordres, qui voient leurs 
survies que par les seules conditions des encouragements des dessous de tables, 
on s‘y perds…, cette pratique nulle part qu’en Centrafrique. Tout se résume par 
des primes occultes immorales qui a un nom la « corruption » 
érigé en mode de fonctionnement à tout bout de champ. Mais cette réflexion 
critique doit être complétée par une démarche constructive. Il faut une remise 
en cause et faire un bilan de l’état de notre Pays, les dirigeants dans leurs 
postures rétrogrades, intellectuellement arriéré. Doivent Innovés les démarches, 
dans la restauration d’un crédit d’honneur pour le peuple qui les ont élus. 
Donner une nouvelle architecture organisationnelle crédible, adapté 
à la situation chaotique que traverse le Pays. 
Donner des repères à la jeunesse Centrafrique pour la survie de 
notre Nation. Des intérêts personnels devraient se reléguer en arrière-plan, 
pour l’intérêt suprême de la Nation Centrafricaine. Nous vivons en effet en 
Centrafrique, plus que jamais dans un Pays de turbulence extrême, une descente 
en enfer continuelle, la désintégration de la couche sociale visible dans son 
ensemble, surtout la jeunesse. Cette jeunesse n’a plus de repère, plus de model 
pour se référer et faire des efforts pour l’avenir, chacun fait ce qu’elle peut 
faire pour survivre.  
Pour la République Centrafricaine en vue de toutes ces traversées 
du désert, certes le pouvoir actuelle hérite d’une situation difficile. Mais ne 
peut pas prétendre qu’ils découvrent… ! On se lançant dans la course de 
rétablissement de l’ordre constitutionnelle, tous(tes) ces candidats en vue 
d’une conquête d’un mandat quelconque (exécutif ou législatif) devraient avoir 
mesurés les enjeux, et préparer leurs plan d’action pour sortir le Pays, de 
surcroît leurs compatriotes dans cette situation d’insécurité insupportable. 
Sur un plan  
institutionnel, en imposant le respect des règles d’usage, et l’ordre 
disciplinaire. Or nous n’avons pas encore vues des actes permettront de mieux 
formuler les bases d’orientations concrètes et d’une normalisation clairement 
ambitieuse, aux enjeux et des solutions des problèmes qui se posent dans ce 
genre des situations si gravissimes. Tout ce que l’on peut dire pour le moment, 
aucune visibilité dans les postures du pouvoir qui peut donner des espoirs au 
bas peuple Centrafricain. 
Les approches en mode de la gouvernance, qui est instituée par les 
communautés internationales. Qui ont pour mission centrale la restauration de la 
sécurité en République Centrafricaine, sur toute l’étendue du territoire. Dans 
lesquels des objectifs par ailleurs d’accompagner le pouvoir en place, de mettre 
en place leur projet de la gouvernance. Entre autre la restauration de 
l’autorité de l’État avec toutes les institutions convenables, ainsi que les 
administrations pour l’intérêt de la Nation.  
La 
communauté internationale représentative : Mission 
des Nations unies pour la Centrafrique (MINUSCA), 
mais elles ne devraient pas présentés comme un tout qui définit la problématique 
de la gouvernance en tant que telle. Dans mes réflexions, l’objectif n’est pas 
de remettre en cause les efforts de la MINUSCA, 
mais de demander aux dirigeants de sortir dans l’attentiste, en même temps 
cessés d’œuvrer pour une diversion calomnieuse  en mode de la gouvernance, ainsi que des 
postures belliqueuses. Mais de se montrer conforment sur les enjeux et la 
problématique de la bonne gouvernance avec autorité. En étant des véritables 
maitres d’œuvre, et d’ouvrage. Agencer ces efforts de manière rationnelle, pour 
ne pas parler de la mutualisation de ressources que seulement des sprinteurs en 
quête d’enrichissements personnels sans penser au Pays. Ensuite, comment je 
sous-entends les principes et mécanismes qui assurent la coordination efficiente 
et, efficace dans l’organisation quelconque, la maitrise de l’organisation et la 
bonne orientation de la gouvernance de l’État Central, à condition qu’elle soit 
mieux régulée, et contrôlée. 
Ce qui va de soit dans la délégation en représentation sur tout 
l’étendue du territoire, de l’autorité de l’État sur le plan de la sécurité, sur 
le plan fonctionnel, opérabilité administratif « Décentralisation par 
délégation». Sans un État central fort, dans les choix des acteurs et, les 
orientations, des ressources compétentes, des « impétrants » capables 
de remplir leur mission…etc. et non des choix des bras cassés incompétents, 
courtisans ou « glandeurs des premières classes ». 
Tous les problématiques est là ! Comment réussit à assurer la 
cohérence requise en République Centrafricaine, s’il n’y a pas la volonté des 
 dirigeants à la responsabilité 
première, dans les choix des hommes et des femmes centrafricains(es) intègres et 
compétents avec un maitre mot « l’excellence, apposé par une culture des 
résultats» dans leurs missions pour des collaborations honnêtes et ambitieux 
pour leur Pays. 
Chaque citoyen est imbriqué dans une multitude de jeux sociaux, 
économiques, politiques, culturels …etc. à plusieurs niveaux dans lesquels ils 
devraient y avoir de la responsabilisation citoyenne. Les enjeux politiques est 
telles que, tout le monde devrait prendre conscience de l’État du Pays, de tous 
ces partenaires obligés, si l’on veut atteindre un résultat, une bonne 
performance dans la sortie de la crise Centrafricaine. Dans 
l’hypothèse, 
le malheur des uns fait le 
bonheur des 
impétrants incompétents, qui n’apportent pas forcement des solutions à la crise 
Centrafricaine au peuple centrafricain. Il faut tout d’abord clarifier les 
problématiques des différents types de la gouvernance et des 
organisations.
Une Gouvernance avec un grand « G » (Centralisée, 
Hiérarchisé, Autoritaire, Coercitive), la situation de la crise que traverse la 
Centrafrique a besoin d’une mutualisation de tout ça ! si et seulement si, 
une gouvernance avec un petit 
« g » (plus horizontales, pluralistes, participatives), afin de mieux 
cadrer en fonction des situations, il faut des dirigeants clairvoyants, 
pragmatique et visionnaires, qui auront une démarche politique aguerrie des 
processus mettant surtout l’accent sur la fiabilité et des impératifs logiques 
institutionnelles, par différentielle, ou par analogie fonctionnelle optimale 
des processus avantageux, orientés vers une innovation expérimentale. À la 
sortie de crise Rwandaise le président  
Paul KAGAME avec ces acolytes ont réussies leur paris institutionnel, et 
l’ordre réconcilier de la Nation mobilisée. Qui ont évités toutes dérives, qui 
ont été enclenchées par la turbulence génocidaire qu’a connue leur Pays. La 
nécessité de répondre mieux aux besoins des impératifs du peuple de plus en plus 
hétérogènes et pluralistes, aux valeurs et préférences plus proactifs dans la 
construction, ainsi les relèves de leur Nation. Sur le plan des institutions, le 
président  Paul KAGAME avec ces 
compatriotes tant que national, en associant aussi la diaspora sur la 
reconstruction de leurs Pays avec des outils modernes. Répondre aux enjeux de la 
construction par la nouvelle technologie.
Le pouvoir actuel, doit se faire une raison avec beaucoup 
d’exigence s’entourer des impétrants « des hommes et des femmes compétents 
(tes) », pour sa deuxième année au pouvoir, sinon le Pays restera dans 
l’éternel recommencement.
 
Il faut ensuite savoir reconnaître les compétences, en faire des 
alliés partenaires incontournables à cause de leur compétence relative dans ces 
jeux de réhabilitation des ordres institutionnels, de la défense et sécurité 
territoriale, de l’autorité d’État sur le plan administratif et fonctionnel 
innovent, les intéresser aux partenariats, doivent contractualisés les alliances 
sur la base de principes promettant une collaboration efficace et, efficiente. 
Mettre en place des mécanismes qui vont à la fois faire converger des actions 
inspirées par des objectifs convergents aux intérêts de la Nation. S’il n y pas 
des objectifs, alors il faut en éventer. Plusieurs domaines sont souvent 
énoncer, dans la réclamation  tel 
que la sécurité, fonctionnement de l’administration de l’État…les ordres établis 
digne d’un Pays. Au cœur de toutes ces missions et actions, les services rendus 
proches des citoyens, et assurer le minimum d’adhésion aux normes 
institutionnelle afin que, le cas échéant, chaque partenaire soit porté à 
honorer ses engagements, même si à court terme cela peut être pénible. 
Or force de constater pour plusieurs raisons, les supposés 
hommes politiques Centrafricaines manque cruellement de vision pour bâtir un 
avenir solide dans notre Pays. La rhétorique politicienne ne fait pas développée 
un Pays. Manifestement qui ne se mette pas en évidence, dans des meilleures 
dispositions, se donner les moyens, se doter des outils permettant une bonne 
pratique moderne « le bon logiciel qui agencerait l’opérabilité 
fonctionnelle des institutions d’État » selon les normes, règles et 
conventions qui assurent cette bonne gouvernance. On peut tout au plus espérer 
qu’en expérimentant les bons outils, on va pouvoir découvrir des réponses à ces 
questions. Il faut enfin savoir travailler à bien penser la gouvernance, mieux 
définir la configuration des intervenants, des impétrants qu’on cherche à 
mobiliser pour une assignation d’une mission organisationnelle d’État, ayant à 
l’esprit une connaissance fonctionnel du pouvoir, exigence des droits, les 
besoins, les obligations…etc. de chacun, comprendre pourquoi et comment ils 
coordonnent leurs  activités 
parallèlement aux autres impétrants et, ce faisant, soutiennent une certaine 
cohérence de leur action collective, ainsi que collaborative. Personne ne pourra 
construire ce Pays à notre place, rétablir les ordres disciplinaires. 
Cette réflexion découle d’une longue observation de la tournante du 
pouvoir en Centrafrique avec des énormément disparités. Des forces, des tensions 
porteuses de dépassement, les sources et les causes de dysfonctions de l’État, 
les fausses informations véhiculés aux uns et aux autres, dont le seul but de 
nuire à l’autre, isoler les bonnes initiatives, mette en évidence des mauvaises 
pratiques de la gouvernance, les caractères sociotechniques qui affaiblissent 
notre environnement économique, social et politique, cette interpellation 
réflexible à pour vocation de suggérer de la clairvoyance, rendre les postures 
des uns et des autres plus tolérables pour débloquer les organisations coincées, 
et redessiner les organisations et institutions qui ont besoin d’être optimisé. 
La gouvernance est donc à la fois une manière de voir, un cadre d’analyse, des 
méthodes et,  un langage de 
définition structurelle, procédurale, organisationnelle et de solutionnement de 
problèmes, un outil à la fois pour remonter à la source les situations 
diagnostiquées au passage, des faiblesses d’un système organisationnel, afin de 
ressortir les mauvaises performances, et un outillage mental pour le designer 
organisationnel et l’architecturale, sociale à qui on demandera de faire de 
l’excellence « la bonne gouvernance ». 
Fait à Lyon le 24/04/2017
Diaspora,
Mr. Aubin-Roger KOMOTO