La jeunesse doit construire l'espérance
Jeunes talents : Sur les pas de Aude Taboutou
Echo de la cité : La piazza du Centre Georges Pompidou à Paris | Dans la rue, la nuit
La Voix des enfants - Unicef (Nations Unies)
Aude TABOUTOU, jeune architecte en herbe, crée un site qui ouvre des fenêtres sur d'autres sites y compris africains.
La diaspora centrafricaine sait se faire remarquer pour son travail, sa faculté d'adaptation, sa convivialité, sa disposition à faire connaître aux autres la culture de notre beau pays, la République Centrafricaine.
Aude TABOUTOU, 21 ans, étudiante en 4ème année d'architecture à Paris, est admise en ERASMUS, depuis la rentrée universitaire 1998 (échanges entre grandes écoles européennes). Elle est entrain de créer un site à l'université de Deft où elle poursuit ses études y compris en urbanisme.
Nous avons suivi les premiers de cette compatriote avec émotion. En effet, outre la qualité du travail accompli en peu de temps, elle a su créer des liens avec d'autres sites et rendre hommage aux aînés dont Barthélémy BOGANGA, fondateur de la République Centrafricaine.
Cliquez sur les pas de Aude et vous tombez sur le plus beau drapeau du monde, celui de la République Centrafricaine, ensuite sur la carte de notre pays, sur la photographie de B. BOGANDA; Aude invite le monde à visiter la R.C.A. à travers SANGONET.
En cliquant sur la statue shona, Aude ouvre une fenêtre sur un site, sur l'art africain.
D7 renvoie à ses essais et travaux techniques en 3D (3 dimensions).
Nous souhaitons pleins succès à notre jeune compatriote.
La piazza du Centre Georges Pompidou
à Paris: avec un baobab en plus on se croirait au cœur d'un village africainDans cette foire-ci, il n'y a rien à vendre ou à troquer : tout est spectacle. C'est une féerie avec de véritables scènes d'envoûtement.
(Victor BISSENGUE) *
Dans la rue, la nuit
.On voit de profil quelqu'un marcher sur un trottoir. C'est le jeune homme de la ruelle. Il marche tranquillement, quand une main tombe sur son épaule, et le plaque contre le mur. Le jeune homme de la ruelle est terrorisé : devant lui s'agitent dans tous les sens deux clowns. On voit leur masque de face s'agiter. C'est alors que s'engage une conversation entre les clowns et le jeune homme :
- Le clown qui le tient : Cette fois-ci on t'tient. ! Files-nous notre blé.
En tremblant, il glisse sa main dans la poche intérieure de son blouson et en retire des billets qu'il tend au clown qui le maintien. Celui-ci le relâche et lui dit :
- C'est très vilain d'être endetté.
Ils se mettent alors à courir.
Hilda BISSENGUE. Document de recherche Universitaire (Inédit - Extrait de scénario )
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